Dès les premières années de son sacerdoce, l’abbé de Nantes a dénoncé la secte progressiste et son formidable plan de réforme de l’Église. Mais les réformateurs triomphèrent lors du concile Vatican II. Notre Père en analysa les Actes, sur le moment même, démontrant leur caractère hérétique et impie avec une sainte véhémence dictée par son amour filial de l’Église.
Durant les années qui suivirent, ses recours répétés au Magistère se heurtèrent à la forfaiture de tous les degrés de la hiérarchie. Mais cette protestation et le silence de l’autorité attestent la fidélité du cœur de l’Église à son Époux Jésus-Christ.
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