Après la Seconde Guerre mondiale, l’évolution des idées politiques et sociales sous l’influence de Jacques Maritain va suivre un double mouvement : celui du rejet de la Chrétienté canadienne française et l’apparition d’un fort nationalisme québécois, laïque et socialiste. Les catholiques nationalistes de l’épiscopat, incapables de réfuter l’erreur personnaliste et l’hérésie progressiste qui envahissent l’Église, ne peuvent lutter contre cette vague de fond portée par une jeunesse formée par la JEC. Tout est mûr dès avant le Concile pour la Révolution tranquille politique.
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