La Révolution tranquille consolida son emprise grâce aux manœuvres de René Lévesque, Robert Bourassa et Pierre-Eliott Trudeau, apparemment opposés, mais unis par une même volonté de détruire la Chrétienté canadienne française.
13e chapitre de l’histoire volontaire du Canada français, survolant les années 1960-1968, de la victoire de Jean Lesage au provincial à celle de Pierre-Elliot Trudeau au fédéral. Leçon très instructive sur la mécanique révolutionnaire.
Rejet de la Chrétienté canadienne française au profit d’un nationalisme laïque et socialiste : dès avant le Concile, le Québec est mûr pour la Révolution tranquille politique.