Cadeau des jeunes phalangistes canadiens à l’occasion du jubilé sacerdotal de l’abbé de Nantes.

Frère Pierre raconte la fondation de notre maison Sainte-Thérèse au Canada français, véritable digue contre les flots ravageurs de la Révolution tranquille et du Concile.

Pièces en un acte d’Henri Ghéon d’après les légendes bretonnes de saint Kado et saint Armel. Avec la musique originale de frère Henry de la Croix.

Dédiée au « pauvre et bon peuple de France », au lendemain de la condamnation de l’Action française, en 1927, cette pièce n’a rien perdu de son actualité !

Les conditions de la réussite de la fondation de la Nouvelle-France démontrent que Dieu a un dessein particulier sur ce “ petit peuple ” à qui il confie la conversion du continent. À travers le Régime anglais, puis celui de la Confédération et jusqu’à nos jours, ce dessein se continue, visible à travers mille aléas que l’analyse par l’abbé de Nantes de l’histoire de l’Église contemporaine et sa doctrine politique permettent de comprendre. Au-delà de l’actuel échec se dessinent les conditions de son renouveau et de sa réussite.

De 1840 à 1965, l’Église canadienne est passée d’un catholicisme intégral conquérant à un conservatisme stérile et à la révolution de tout l’ordre catholique canadien-français. Pourquoi et à cause de qui ?

Le Père Éphrem Longpré est un savant médiéviste franciscain dont les convictions rejoignent la doctrine de l’abbé de Nantes et ouvrent une voie pour la renaissance de l’Église catholique au Canada.

Tandis que les soldats canadiens se couvraient de gloire en France, la crise de la conscription occulta leur héroïsme et sonna le glas d’un nationalisme canadien rassemblant les deux peuples fondateurs.

Cette pièce de théâtre d’Henri Ghéon, représentée par les jeunes CRC canadiens, met en scène le martyre de saint Laurent, victorieux de son persécuteur par l’ardeur de sa charité.