La suspense a divinis infligée à l’abbé de Nantes sans motif réel, pour éluder son légitime appel au magistère infaillible de l’Église est nulle et non avenue.

Notre Père, au fur et à mesure de lettres de méditation et de direction spirituelle, en vint à prendre la défense de l’Algérie française et à dénoncer le progressisme à l’œuvre dans l’Église.

L’analyse objective, morale et doctrinale des apparitions de Medjugorje conduit à la même conclusion : elles sont d’origine diabolique !

Après le Concile, l’abbé de Nantes combattit sur deux fronts : pour obtenir du Pape un jugement infaillible sur la Réforme conciliaire et pour retenir dans l’Église les fidèles tentés de la quitter.

La clôture du Concile coïncide avec les mises en garde publiques contre le seul opposant et l’entrée dans un chemin de croix qui durera toute la vie de Georges de Nantes.

La comparaison des pèlerinages des papes Paul VI et François à Fatima, à cinquante ans de distance, montre le même refus du message de Notre-Dame...