Les réformateurs impatients de 1962, dégoûtés des échecs de l’Église, ont voulu le concile Vatican II pour la changer radicalement. Vingt ans après, c’est l’échec. Alors, irréformable, l’Église ?
Pour appréhender son Mystère, il faut la voir, non dans une abstraction idéale, mais dans sa réalité concrète : un peuple de Dieu, empoigné par l’Esprit-Saint qui doit composer avec des forces antagonistes. D’où ses lenteurs... voulues et respectées par Dieu.
Donc, plutôt qu’attaquer l’Église, admirons la patience divine, la sainteté de l’Église, et travaillons à sa sanctification !