Une initiation à la doctrine totale de notre Père, fruit de la tradition millénaire de l’Église et de ses intuitions personnelles fulgurantes. Parmi les ruines conciliaires, elle se dresse comme une « cathédrale de lumière » !
« Seules les âmes mystiques vous suivront jusqu’au bout », déclarait un ermite à notre Père. Pour en être, mettons-nous à son école pendant ce camp avec intelligence, afin de mieux aimer Jésus et Marie.
Le concile Vatican II a tout fait pour interrompre l’admirable tradition de sainteté que l’Église perpétuait depuis des siècles. Mais notre Père, a créé une véritable école de sainteté dans laquelle il nous faut nous engager !
Pour comprendre l’abbé de Nantes, c’est par Elle qu’il faut commencer ! Guidé par les ardeurs toujours plus vives de son amour, il ne cessa de progresser dans la compréhension du mystère de l’Immaculée qui devint le tout de sa vie.
Chargée de renseigner le Saint-Père sur la réalité et la portée du message de Notre-Dame à Fatima, la Congrégation pour la doctrine de la foi a convoqué notre frère François de Marie des Anges...
Dieu veut la gloire du Cœur Immaculé de Marie et notre salut. C’est pourquoi Notre-Dame est apparue à Fatima : Elle nous montra l’enfer et une petite voie, la dévotion des cinq premiers samedis.
En définissant la personne humaine par ses relations, l’abbé de Nantes remédie aux erreurs de son temps en portant le thomisme à son achèvement : il inaugure une nouvelle vision du monde !
Approfondissant l’œuvre de saint Thomas, notre Père n’en demeure pas moins son disciple admiratif. En témoigne cet admirable éloge de la sagesse du Docteur angélique, qui décrit aussi bien le maître que le disciple !
La théologie de l’abbé de Nantes est existentielle : enrichie de toutes nos expériences humaines, relationnelles, voulues par Dieu afin que nous Le connaissions et L’aimions.
En 1995, la découverte par l’abbé de Nantes du bienheureux Jean Duns Scot, théologien franciscain de la fin du XIIIe siècle, lui permit d’apporter une touche finale, décisive, à sa doctrine totale.
Raison ou Sagesse ? Le dilemme a passionné les philosophes grecs et médiévaux les plus géniaux. Notre Père nous les présente et les dépasse finalement, donnant la primauté... à la raison ou à la foi ?
La cause de tous les échecs de la droite française ? C’est le secret de Maurras, découvert peu à peu par son disciple, l’abbé de Nantes.
Le salut est-il dans le “ politique d’abord ”, l’économie ou la bombe à neutrons ? Non ! Il est d’abord dans la Vierge Marie qui triomphera, comme elle l’a promis, lorsque nous l’aurons mise au-dessus de tout.
Frère Bruno nous dévoile la source de la force surnaturelle du Père dans son combat pour Dieu et l’Église : sa vie mystique.
Enfant de l’Église par toutes les fibres de son être, notre Père ne peut que combattre pour la défense de la Chrétienté, car « il n’y a pas d’Église sans Chrétienté, comme il n’y a pas de Chrétienté sans Église ».
Notre Père a développé la seule analyse véritable des Actes du concile Vatican II, aboutissant à la dénonciation des trois hérésies conciliaires : progressisme, modernisme et gnose.
Le bonheur du Ciel sera d’être en face de la Sainte Trinité, dans la Sainte Trinité. Mais nous n’y serons pas seuls, car nous nous retrouverons les uns les autres ! Le Ciel, ce sera l’épanouissement de l’Amour.
Frère Bruno se sert de la gnose du “ Christ oméga ” de Teilhard pour mettre en valeur la doctrine de notre Père, totale et vraie, expression plénière de la religion de Jésus-Christ, Fils de Marie.
Frère Bruno livre le secret intime du Cœur sacré de Jésus : un ardent désir de nous voir aimer avec Lui le Cœur Immaculé de Marie.
