Les Pages mystiques de notre Père sont l’histoire véridique d’une âme sortie du sein de Dieu pour y retourner, au bout de 86 ans. Son itinéraire peut être le nôtre, à nous ses enfants, pour qui il les a écrites !
« Notre Père, qui êtes aux Cieux, je vous aime et je souffre. » Ce cri du cœur de Georges de Nantes ouvre un corpus unique dans l’histoire de l’Église, remède à son apostasie moderne.
La Foi, c’est vertigineux ! Georges de Nantes l’a reçue à son baptême et elle a jeté sur toute sa vie et son univers une lumière éblouissante de vérité, entretenue par un colloque intime avec Jésus et Marie.
La Foi est une lumière, mais tant d’ombres subsistent, insinuant le désespoir... Mais l’Espérance, nourrie par des actes répétés, triomphe de toutes les embûches de Satan pour nous mener au Ciel.
Notre Père nous fait ressentir le caractère vertigineux de notre destinée éternelle : suspendue entre le Ciel et l’enfer, enjeu d’un combat dramatique entre Jésus et Satan.
«Vous m’avez donné à mon baptême la plus charmante, la plus sublime, la plus douce et la plus lourde des tâches, pour le temps et pour l’éternité : aimer ! »
Au fil des Heures monastiques qui rythment le jour, notre Père nous révèle le secret de sa vocation de moine-missionnaire : la présence de Jésus, qui culmine à la messe et envahit tout son univers !
Le Sacré-Cœur de Jésus est le symbole de son amour impétueux, assoiffé d’être aimé en retour des pécheurs misérables que nous sommes.
« Si aujourd’hui je vis sans que cette vie me soit un désespoir et une mort, c’est que je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi. » (Gal 2, 20)
« Pas un seul jour je n’ai cessé de me réjouir d’être enfant de l’Église. » Comment lui rendre amour pour amour ? En lui donnant de nouveaux enfants, en lui restant fidèle dans ses épreuves.
« Le prêtre est un homme dépouillé, crucifié, mangé. » Telle fut la vie de notre Père, à l’imitation de son Maître, dans la crèche, sur la croix et au tabernacle, pour ne plus faire avec lui qu’une victime, un seul Cœur.
L’Immaculée Corédemptrice, Médiatrice de toutes grâces, a été constituée par son Fils crucifié notre Mère, pour reconquérir les pécheurs ! Mystère savoureux, sel de la Sagesse divine à goûter ici-bas pour nous préparer au Ciel...
Notre Père se sent inspiré pour écrire sur le Ciel, avec une facilité étonnante, surnaturelle. Malgré sa pudeur, il nous raconte les merveilles de Dieu en lui, afin de nous Le faire aimer davantage.
Comment dire le Ciel ? C’est un secret... que notre Père a eu la grâce de contempler pour nous le livrer. Pour le comprendre, il suffit d’aimer nos joies familiales, filiales, paternelles, conjugales !
Faut-il désirer mourir vite pour aller au Ciel ou demander la grâce de nous y préparer longtemps ? La réponse est à chercher dans l’entrelac des pauvres liens sacrés de la charité dans lequel Jésus nous a enserrés...
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