Tragédie chrétienne de Corneille, suivie d’une conférence : Les ressorts de la tragédie de Polyeucte.

Cette pièce de théâtre d’Henri Ghéon, représentée par les jeunes CRC canadiens, met en scène le martyre de saint Laurent, victorieux de son persécuteur par l’ardeur de sa charité.

Pièces en un acte d’Henri Ghéon d’après les légendes bretonnes de saint Kado et saint Armel. Avec la musique originale de frère Henry de la Croix.

Dédiée au « pauvre et bon peuple de France », au lendemain de la condamnation de l’Action française, en 1927, cette pièce n’a rien perdu de son actualité !

Une initiation sans égale à la littérature et à la piété des Grecs, si riches de figuratifs des mystères chrétiens, mais méconnues et méprisées de nos universitaires.

Cette pièce d’Henri Ghéon retrace les apparitions de la Sainte Vierge à Lourdes, sobrement, en se fondant uniquement sur des témoignages historiques.

Cette pièce jouée devant Louis XIV en 1691 est un figuratif biblique puissant de la décadence dans laquelle entrait le Royaume, laissant présager l’heureuse, la divine renaissance !

L’opposition de saint Thomas More à son roi, par devoir de conscience, présente un parallèle saisissant avec le grand drame de la vie de notre Père, qui atteignait son paroxysme en cette année 1996.

Entrons dans le monde de Molière, sorte de “ comédie humaine ” qui contribua à l’élaboration de l’ordre classique voulu et favorisé par le Roi ! Vous retrouverez ici avec bonheur ses scènes les plus célèbres !

Henri Ghéon mène une véritable « croisade pour un art chrétien », renouant avec la grande tradition du théâtre antique, médiéval et classique.

Pièce en un acte d’Henri Ghéon.

Henri Ghéon met en scène les plus beaux entretiens du pauvre errant, saint Alexis, avec son épouse qu’il quitta dans la nuit de leurs noces pour ne revenir que dix-sept ans plus tard, sans se faire reconnaître.

Genès, acteur célèbre au service de Dioclétien, se convertit au christianisme en travaillant le premier rôle du martyre d’Adrien, qu’il est amené à jouer devant l’Empereur...

Nationaliste d’Action française, Ghéon se devait de montrer de la bonne politique sur scène. Son Démos, esclave et roi, pastiche d’Aristophane, est une critique mordante de la démocratie et une apologie de gouvernement « d’un seul ».

Saint Gilles ou le saint malgré lui est une œuvre très dépouillée, où seuls comptent la psychologie des personnages et le rythme de la pièce, qui entraîne le spectateur dans l’intimité du saint.

Cette pièce de théâtre montre, par la mise en scène d’un procès de béatification, avec les analyses de notre Père, l’impossiblité de déclarer l’héroïcité des vertus de Jean-Paul II

« Rien à comprendre dans le monde... si nous ne plaçons plus haut notre espoir, dans la source de l’amour même : un Dieu qui aimerait. »