Chapitre 4 : Les trois grands mystères révélés – Chapitre 5 : Le mystère de la Sainte Trinité.

Méditons sur la magnificence d’un Dieu se révélant comme un Père, un Fils et un Ami !

Le Père et le Fils s’aiment tellement qu’ils veulent qu’une autre personne, une créature, soit inondée de leur Amour qui est le Saint-Esprit, pour devenir l’Épouse du Fils et se blottir dans le Cœur Père, éternellement.

Qu’est-ce que l’esthétique hyperbolique ? La présence de la Gloire de Dieu dans notre vie et la volonté qu’elle s’étende à tout l’univers ! Exaltant !

En disciple du Docteur incomparable qu’est notre Père, Frère Bruno explique les trois Mystères de notre sainte religion en consacrant un développement particulier à celui de la Rédemption, aujourd’hui presque occulté.

Le chrétien baptisé accepte d’emblée l’enseignement de Dieu sur Lui-même – la Sainte Trinité – et sur l’univers – sa création, son bonheur, sa chute.

Dieu a préparé son peuple dans l’Ancien et le Nouveau Testament à entrer dans le mystère de sa vie trinitaire de P.È.R.E. !

Le bonheur du Ciel sera d’être en face de la Sainte Trinité, dans la Sainte Trinité. Mais nous n’y serons pas seuls, car nous nous retrouverons les uns les autres ! Le Ciel, ce sera l’épanouissement de l’Amour.

Seuls les grands mystiques, comme Lucie-Christine, peuvent dire quelque chose du Mystère de la Sainte Trinité, un Dieu Un et Trois.

Le Notre Père nous fait prier, discrètement mais sûrement, chacune des trois Personnes de la Sainte Trinité !

Paul, dans les visions qu’il a reçues, a vu le secret du Cœur de Dieu comme un grand dessein universel dépassant les juifs et même les contemporains de Jésus, pour toucher tous les hommes !

En 1995, la découverte par l’abbé de Nantes du bienheureux Jean Duns Scot, théologien franciscain de la fin du XIIIe siècle, lui permit d’apporter une touche finale, décisive, à sa doctrine totale.

Comprenons, par la Révélation, que Dieu est suprêmement Père, avec une âme de Père, engendrant de toute éternité un Fils. Nos existences ne s’expliquent que par cette vie intime !

Savourons le mystère de Bon Plaisir divin comme la décision la meilleure pour nous et adorons-le !

Le Romancero chante les préparations dans la création du Mystère, inaccessible, de la Sainte Trinité !

Avec saint Bède le Vénérable, débordons d’enthousiasme pour la Vierge Marie, créature plus divine qu’humaine !

Pour atteindre aux vertus morales qui nous feront porter l’épreuve du pèlerinage du 13 octobre 1996 mystérieusement pressentie, il nous faut remonter au mystère de la Sainte Trinité.

Ni naturelle, ni surnaturelle, la morale de l’Alliance est religieuse ! existentielle et universelle !

Nous abordons le plus haut domaine de l’intelligence humaine, butant sur des mystères insoutenables : l’Infini, le Fini ! Seule la religion chrétienne répond par la Révélation d’un Dieu PÈRE !

L’Annonciation réalise le grand dessein de Dieu : son union avec l’humanité. Le Oui de l’Immaculée Vierge Marie répond au Oui de Dieu. « Et verbum caro factum est. »

En ces années 1945-1946, notre Père manifeste une humilité et une sagesse surnaturelles qui lui font aimer et défendre les trésors de la tradition de l’Église contre les désorientations d’un réformisme naissant.

Très tôt Georges de Nantes comprend que sur la définition de la personne humaine reposent deux conceptions de la vie : le culte de Dieu ou le culte de l’homme.

Notre Ciel, c’est les autres ! C’est Jésus et Marie ! C’est la Sainte Trinité ! Perspective magnifique !

Qu’est-ce que le protestantisme ? « L’insurrection de l’individu contre l’espèce » (Auguste Comte).

Imaginons, sur le modèle du PÈRE, la béatitude de Marie Immaculée au Ciel, Mère, Épouse, Reine et Esprit commun qu’elle répand sur nous !

Comment dire le Ciel ? C’est un secret... que notre Père a eu la grâce de contempler pour nous le livrer. Pour le comprendre, il suffit d’aimer nos joies familiales, filiales, paternelles, conjugales !

Frère Bruno livre le secret intime du Cœur sacré de Jésus : un ardent désir de nous voir aimer avec Lui le Cœur Immaculé de Marie.

L’Église mesure la sainteté de ses saints à leur ardeur au travail manuel, servile...
Ni l’orgueilleux ni l’égoïste n’aiment le travail manuel.

Notre Père découvre dans les apparitions de Notre-Dame de Tre Fontane un appui inattendu pour sa théologie mariale !

Chez les Grecs, nous trouvons les germes de la religion unique remontant à Dieu par l’Amour de la Trinité pour l’Immaculée !