En 1954, l’Algérie était vraiment « une communauté historique ». Malheureusement la République y avait introduit ses tares et les Français n’avaient pas tenu compte des prophéties et de la pensée coloniale catholique du Père de Foucauld.

Le Maréchal rompit ostensiblement avec la laïcité républicaine, et gagna l’adhésion unanime de l’épiscopat. Malheureusement, cette heureuse concertation de l’Église et de l’État ne devait pas durer…

Frère Scubilion nous raconte la descente aux enfers de l’Afrique française à travers l’exemple de Madagascar, où la France avait accompli depuis le XVII^e siècle une belle œuvre missionnaire et civilisatrice. Jusqu’à la “ libération ” gaulliste.

Notre mouvement ? Aussi loin de l’hérésie que du schisme : juste catholique, mais contre la prétendue réforme de Vatican II que le Pape, pasteur du troupeau, doit condamner !

Léon XIII contre le Roi, Pie XI contre l’Action française, l’Action catholique contre la France et la Révolution nationale : c’est le péché de l’Église...

L’abbé de Nantes s’adresse aux Romains d’aujourd’hui en commentant l’épître de Paul, pour leur rappeler la vérité de la Rédemption, aujourd’hui occultée.

Entré au séminaire en 1943, Georges de Nantes eut la grâce de le connaître avant la révolution de 1944. Il y trouva aussi le maître qui le guida à travers toutes les controverses théologiques.

Commentant le second tome des Mémoires et Récits, frère Bruno nous fait admirer à quel point notre Père fut au séminaire l’enfant légitime de cette Église fidèle d’avant la Libération-révolution de 1944.

De retour d’exil pour sauver la CRC, le Père engage le fer contre l’Autorité. Ni lui ni les communautés ne céderont : il en va de la foi de l’Église !

C’est par la grâce de l’amitié de l’abbé Vimal, l’incomparable ami, que le don de Sagesse fit du jeune séminariste Georges de Nantes un fils de l’Église, puis à son tour un incomparable Père...

La Passion du Christ est toujours actuelle, nous exhortant à choisir notre camp : celui des victimes et des innocents et non celui des complices des criminels.

Témoin de l’effervescence de l’Église de France de l’entre-deux-guerres à la veille du Concile, notre Père a dénoncé une hérésie nouvelle et plus grave que les pires du temps passé : le progressisme.

Pour empêcher l’enfer des guerres civiles entre catholiques, il faut revenir à Dieu et ordonner des cérémonies publiques de pénitence, pour tous.