Chapitre 9 : L’Incarnation du Fils de Dieu – Chapitre 10 : L’Annonciation à la Bienheureuse Vierge Marie.

Pour consoler notre Mère Immaculée des outrages lancés contre sa Maternité divine, contemplons le mystère de Dieu fait homme, à l’école de notre Père, disciple de saint Cyrille d’Alexandrie.

En 431, le concile d’Éphèse proclame la Maternité divine de Marie. Frère Bruno nous révèle les richesses théologiques de ce privilège qui nous concerne tous, enfants de l’Immaculée Médiatrice.

Incarnation, expiation, rédemption : tel est le cœur de la prédication de saint Marc, et le Cœur caché de Jésus, que comprendront toutes les âmes mystiques à la suite de Marie-Madeleine !

Plutôt que l’explication platonicienne de l’Incarnation, le Père préfère la vision thomiste célébrant l’union de Jésus et de Marie !

Notre Père aimait beaucoup saint Cyrille : ce grand docteur de l’Incarnation du Verbe à qui l’on doit aussi le dogme de la Maternité divine de la Très Sainte Vierge.

Les modernistes opposent l’Évangile paulinien au Jésus de l’Histoire, pour s’en dégager par le Jésus de la Foi. Le prédicateur ne nie pas l’opposition mais l’accentue, pour démontrer la nécessité d’une double révélation.

Vivons dans l’adoration ce temps de Noël qui nous donne à contempler le Mystère de Dieu dans l’Enfant de la crèche !

Qu’est-ce que l’esthétique hyperbolique ? La présence de la Gloire de Dieu dans notre vie et la volonté qu’elle s’étende à tout l’univers ! Exaltant !

Par ses parents, par ses maîtres, Georges de Nantes est enfant de Marie. « Ce n’est pas une dévotion, c’est la réalité, c’est la reconnaissance des enfants pour Celle qui les a enfantés au Calvaire. »

La Bonne Nouvelle de Jésus ? Le Royaume est arrivé, déjà vécu à Nazareth puis prêché en Galilée pour tous les disciples, arrachés à la puissance du démon par leur Libérateur !

Chapitre 4 : Les trois grands mystères révélés – Chapitre 5 : Le mystère de la Sainte Trinité.

En disciple du Docteur incomparable qu’est notre Père, Frère Bruno explique les trois Mystères de notre sainte religion en consacrant un développement particulier à celui de la Rédemption, aujourd’hui presque occulté.

Retour à Nazareth avec le psaume 118, le plus long du psautier, que résume le Notre Père. Jésus, en effet, s’est approprié et a transfiguré le psautier, par sa mort et sa Résurrection.

Avec les explications théologiques et linguistiques données, l’ordre des Trois Personnes dans l’œuvre de l’Incarnation est bien précisé !

Nous sentons par nos sens la beauté spirituelle des choses : c’est voulu par le Créateur, l’Artiste cherchant à travers les êtres à nous communiquer quelque chose de son Mystère !

Programme : nous laisser envahir par la beauté du Cantique divin pour en saisir la profondeur et réaliser en nous la volonté de Dieu pour être acteur de cette merveilleuse poésie divine !

À l’école de saint Augustin et de notre Père, la double révélation de Dieu à Moïse dans le Buisson ardent suffit à sortir la théologie des ornières rationaliste et immanentiste !

L’homme moderne se trouve très bien : il n’a donc aucun besoin de miséricorde.

L’histoire de Dieu avec nous, c’est une histoire d’amour que Jésus nous a racontée !

Quand Benoît XVI reconnaît l’héroïcité des vertus de Jean-Paul II et ouvre les portes de l’Église aux anglicans qui adhèrent au CEC, seule la CRC peut nous redonner la foi et l’espérance en l’Église !

À la veille de la béatification de notre vénéré Père, il nous est bon de revenir sur son existence qui reproduit, de manière inouïe dans l’histoire de l’Église, celle de Notre-Seigneur.

Face à Jean-Paul II, notre Père mène de front le combat de Contre-Réforme, qui culmine avec son deuxième Liber, et la préparation de la Renaissance de l’Église par son œuvre doctrinale positive, fondée sur sa métaphysique totale.

Tandis que s’ouvre le procès de Jean-Paul II, où sera enfin examinée la pureté de sa doctrine, Benoît XVI donne raison à l’abbé de Nantes en abjurant l’erreur capitale du CEC !

Notre Père a soif d’aimer la Sainte Vierge. Plus il médite auprès d’Elle la vie cachée de Nazareth, plus il voit clair pour dénoncer ses ennemis : le progressisme et le communisme.

Dieu le Père veut donner une Épouse à son Fils : c’est le fil directeur de toute l’Histoire sainte, tendue vers la fondation de l’Église.

Pour que nous soyons saisis par le mystère du Fils de Dieu fait homme, saint Jean nous transmet le témoignage sublime de la Vierge Marie sur la double génération de son Enfant !

Très tôt Georges de Nantes comprend que sur la définition de la personne humaine reposent deux conceptions de la vie : le culte de Dieu ou le culte de l’homme.

La théologie de l’abbé de Nantes est existentielle : enrichie de toutes nos expériences humaines, relationnelles, voulues par Dieu afin que nous Le connaissions et L’aimions.

Analyse des douze hérésies, douze désorientations diaboliques contenues dans le CEC, qui vident l’Église de sa substance surnaturelle pour mieux la rendre épouse du monde.

En 1995, la découverte par l’abbé de Nantes du bienheureux Jean Duns Scot, théologien franciscain de la fin du XIIIe siècle, lui permit d’apporter une touche finale, décisive, à sa doctrine totale.

« Le prêtre est un homme dépouillé, crucifié, mangé. » Telle fut la vie de notre Père, à l’imitation de son Maître, dans la crèche, sur la croix et au tabernacle, pour ne plus faire avec lui qu’une victime, un seul Cœur.

Frère Bruno se sert de la gnose du “ Christ oméga ” de Teilhard pour mettre en valeur la doctrine de notre Père, totale et vraie, expression plénière de la religion de Jésus-Christ, Fils de Marie.

Le grand dessein de Jésus en venant vivre et mourir sur terre est de se donner Corps et Sang, grand dessein d’amour auquel est intimement associée la Vierge Marie. De quoi enflammer nos cœurs !