Notre Père identifia la “ gnose unanimiste ” de Jean-Paul II, imposée à l’Église par le Catéchisme de l’Église catholique, à l’encontre duquel il déposa à Rome le 13 mai 1993 un troisième livre d’accusation.

Programme : nous laisser envahir par la beauté du Cantique divin pour en saisir la profondeur et réaliser en nous la volonté de Dieu pour être acteur de cette merveilleuse poésie divine !

La religion catholique est remplacée par une religion humaniste mondiale basée sur le culte de l’homme.

L’homme moderne élève la science au-dessus de la foi et identifie la cité terrestre avec le Royaume de Dieu. Le Concile approuve !

Notre Père a développé la seule analyse véritable des Actes du concile Vatican II, aboutissant à la dénonciation des trois hérésies conciliaires : progressisme, modernisme et gnose.

Frère Bruno se sert de la gnose du “ Christ oméga ” de Teilhard pour mettre en valeur la doctrine de notre Père, totale et vraie, expression plénière de la religion de Jésus-Christ, Fils de Marie.

Frère Bruno démontre, textes à l’appui, et réfute les cinq reniements d’un pape Benoît XVI poursuivant le rêve gnostique et l’apostasie de son prédécesseur.

L’apologétique scientifique n’atteindra son but que si la prétention de la science à devenir une religion est démasquée ! C’est la faute de Kant !

Le synode sur l’Amazonie ? Idolâtrie, théologie de la libération et écologie, le tout commandé par la gnose du pape François... Un seul recours, le Cœur Immaculé de Marie, en qui Dieu a résumé son écologie intégrale !

Après avoir combattu sur tous les fronts, il souffrit la longue agonie de son Église pour l’Église, dans la certitude de la victoire de l’Immaculée, dont le culte est le seul antidote au culte diabolique de l’Homme.

L’humanisme athée de Gaudium et spes que notre Père réduit en miettes dans l’Autodafé ? Ce n’est qu’une resucée du vieux pélagianisme combattu naguère par saint Augustin !

L’enthousiasme de Paul nous conduit à rejeter les gnoses pour suivre le Christ ressuscité !

Face à une hérésie subtile – la gnose –, Jean se dresse et renouvelle l’amour du Christ et des chrétiens, en prêchant l’horreur de Satan et la méfiance du monde.