On a dit de saint François qu’il fut l’image de Jésus au XIII^e siècle. Aimons donc le Poverello, brûlant de l’amour du Christ et brûlant d’en brûler ses frères !

Saint François fut l’un des saints les plus amoureux du Christ et à son tour, il fut le plus aimé de tout le petit peuple chrétien. Ses vertus évangéliques conquirent son siècle et devinrent le levain de la renaissance catholique au Moyen Âge.

C’est dans La vie profonde de saint François que l’esprit évangélique de Ghéon apparaît le plus visiblement. Le nouveau converti prêche les habitants d’Assise.

Pacifiste, écologiste, révolutionnaire, saint François ? Balayons les mensonges pour éprouver à notre tour le charme évangélique du Poverello, qui souleva tout le Moyen Âge, jusqu’à la Croisade, jusqu’au martyre !

L’autonomie du politique et de la philosophie – au centre des débats du XIII^e siècle – ne signifie pas affranchissement de la religion. Les rois et les saints l’ont compris, pour le salut de tous ! Ce fut différent au XVII^e...

Au sommet de civilisation où était parvenu le XIII^e siècle, succède une décadence, en Occident et en Orient. C’est cette fresque que nous retrace frère Bruno en conclusion du camp.

Allant du Cantique des Créatures au Discours divin, sur les pas du poète Hopkins, nous apprendrons comment sortir de soi pour être saisi par la beauté divine sensible au cœur !

Qu’est-ce que l’esthétique hyperbolique ? La présence de la Gloire de Dieu dans notre vie et la volonté qu’elle s’étende à tout l’univers ! Exaltant !

L’encyclique du Pape est un monument sans précédent, parce qu’il ne se veut pas catholique ! Le Pape souhaite « proposer un mode de vie au goût de l’Évangile » en faisant appel à toute croyance ou religion.

Le Père donne toutes les raisons pour lesquelles la canonisation, enfin programmée, du Père de Foucauld, notre modèle, sera un levier pour la conversion du monde !

L’Enfant-Jésus qui vous tend les bras sur les genoux de sa divine Mère et les saints qui l’entourent dans la crèche vous prêchent éloquemment que notre religion est un amour !

Notre Père a enseigné une mystique franciscaine authentique : aller à Dieu par la voie de la beauté, qui passe par la Croix et nous détourne de l’enfer. Non sans la médiation de l’Immaculée !

Il faut savoir que la solitude est une épreuve terrible pour affronter le démon. Aussi munissons-nous des armes de Jésus.

À la praxis indigente de Küng, le frère oppose le programme CRC de notre Père qui nous transporte dans les hauteurs de l’esthétique mystique, récapitulant le dessein divin dans notre histoire, centrée sur la Croix du Christ !

Il y a plus de joie – et de beauté – à donner qu’à recevoir !

La grandeur de l’homme chrétien est d’être disciple de son Maître dans la Vérité et l’Amour !