L’œuvre où l’esprit évangélique de Ghéon apparaît le plus visiblement est celle qui met en scène La vie profonde de saint François. Tout en reconstruisant la chapelle Saint-Damien, le nouveau converti prêche les habitants d’Assise qui ne lui ménagent pas les sarcasmes et les quolibets. Sa “ Chanson du fils de Roi ” les engage à le suivre sur le chemin de la pauvreté afin de devenir « des pierres vivantes pour la maison éternelle de Dieu ».
À la fin de sa vie, le Poverello est tellement uni à Jésus crucifié qu’il en reçoit les sacrés stigmates sur l’Alverne. Redescendant de la montagne, saint François retrouve ses frères et leur découvre les saintes plaies que Notre-Seigneur vient d’imprimer sur son pauvre corps. « Ô Amour... Amour... Amour ! »
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