Le secret de toutes les sociétés montantes ? Leur vie spirituelle !
Soyons donc fiers de connaître la vraie religion, catholique, et d’être en philosophie, aristotéliciens et thomistes !

La réfutation du livre du moderniste Roqueplo permet paradoxalement la reconstruction de la Foi véritable, dans ses rapports avec la science, la raison, jusqu’à l’acte de foi surnaturel !

L’apologétique, ou la défense et l’exposition de la foi chrétienne, est un régal pour le croyant et une préparation à l’adhésion pour l’incroyant !

« Jésus a-t-il fondé l’Église ? » Cette question est une pierre de touche de notre foi, qui permet à frère Bruno de confondre sous tous ses aspects le modernisme, égout collecteur de toutes les hérésies.

Croire en quelqu’un d’autre que soi ? Merveilleux remède pour l’orgueilleux qui ne croit qu’à son moi absolu !

Chapitre 47 : La foi – Chapitre 48 : L’espérance.

Cette Constitution permit aux progressistes d’écraser la minorité traditionaliste : le Concile affirmait être inspiré directement par le Saint-Esprit, tandis que la Tradition de l’Église n’était pas fiable !

Par cette méditation sur notre vie, lancement d’une triple opération : Espérance, Conversion et Adoration !

Notre Père a dénoncé dans “ Fides et Ratio ” la gnose de Jean-Paul II : réconcilier l’Église avec ses ennemis, par la simple raison humaine, en vue de l’unification de l’humanité.

La Foi, c’est vertigineux ! Georges de Nantes l’a reçue à son baptême et elle a jeté sur toute sa vie et son univers une lumière éblouissante de vérité, entretenue par un colloque intime avec Jésus et Marie.

Demandons à saint Joseph, patron de l’Église, de conserver la Foi par laquelle seule les mœurs se conservent !

Avec et par le baptême, je vous clair pour toute ma vie !

Une fois établie la force de la preuve, reste à s’engager ! Engageons d’abord notre cœur dans la compréhension profonde du plan de Dieu, la foi sera alors donnée !

Notre religion est un amour, sous la forme d’un contrat d’Alliance inégale entre Dieu notre Père et sa pauvre créature, qu’il pose dans l’être, qu’il aime et qu’il veut faire entrer dans son grand dessein divin.

Plutôt que la Loi caduque, Dieu nous propose sa Miséricorde qui se justifie par l’oblation de Jésus-Christ. Désormais, c’est la seule Foi en Jésus qui sauve !

Le (premier) concile de Jérusalem a tranché que tous avaient accès directement au salut par la Foi au Christ : l’Église n’est plus liée à un peuple, elle est catholique !

Paul développe une passion terrible pour la défense de la Foi, mais tout de suite après il relève son adversaire et se montre son Bon Samaritain !

Écoutez frère Bruno relire et commenter l’encyclique de saint Pie X contre le modernisme et vous y reconnaîtrez toute l’apostasie actuelle, installée par Vatican II.

Toute espérance indépendante d’une connaissance et d’un jugement préalable de l’intelligence est folle !

Nouveau chapitre : la justification par la Foi au Christ et la grâce, et non par les œuvres de la Loi. Saint Paul tranche le problème formidable du passage de l’Ancien au Nouveau Testament.

Cette conférence philosophique sur saint Augustin fera comprendre les enjeux du choc que constitua au XIII^e siècle l’arrivée d’Aristote : jusqu’alors, toute la religion du Moyen Âge était augustinienne...

En disciple du Docteur incomparable qu’est notre Père, Frère Bruno explique les trois Mystères de notre sainte religion en consacrant un développement particulier à celui de la Rédemption, aujourd’hui presque occulté.

Premier précepte de notre morale relationnelle : un acte de foi, intellectuel, dans les bienfaits de Dieu, auteur de tout notre être. Les exigences pour garder cette Foi en découleront.

La Foi est une lumière, mais tant d’ombres subsistent, insinuant le désespoir... Mais l’Espérance, nourrie par des actes répétés, triomphe de toutes les embûches de Satan pour nous mener au Ciel.

Pour comprendre la perversité du principe de l’aggiornamento et préparer les conditions d’un relèvement, l’abbé de Nantes explique sa position, répond aux objections et en appelle à Rome !

Y a-t-il du vrai dans l’être ? Depuis Kant, le problème est devenu crucial, réclamant un examen critique, même des sciences expérimentales. Notre réponse, après examen, sera : Oui !

C’est par l’amour que le Christ a saisi saint Augustin, l’attirant de la recherche de l’amour à la quête de la sagesse, jusqu’à l’Église qui l’a enfanté à la Foi. L’Amour est souverain !

La méditation de la Croix nourrit notre foi, notre espérance et notre charité, transformant par là notre vie quotidienne.

Plutôt que la morale classique, individualiste, intellectuelle et surnaturelle, la morale de l’Alliance, totale ! dynamique ! communautaire !

La métaphysique relationnelle à Dieu et à aux autres débouche sur trois interrogations essentielles auxquelles seule la foi peut répondre !

Saint Joseph nous donne l’exemple d’une vie mystique ardente qui allume et entretient la flamme d’un enthousiasme sacré à toute épreuve !

La vie de la Sainte Vierge dans toute sa profondeur et ses douleurs nous la fait connaître comme une maman tout embrasée d’amour pour son Dieu, Ami, Fils, et Époux et préoccupée du salut des pécheurs.

En 2000, après la divulgation du Secret de Notre-Dame de Fatima, notre Père résolut de s’effacer derrière son élu, Jean-Paul I^er. Or sa prédication nous révèle en lui un disciple fervent de saint Augustin !

Parcourant des sermons inédits de saint Augustin, frère Bruno nous donne une catéchèse très vivante. Les arguments de l’évêque d’Hippone traversent les siècles et conservent toute leur force !

Les progressistes revendiquent le patronage de saint Paul pour Vatican II. Le Père réfute avec véhémence cette fausse dialectique et établit la véritable filiation du Concile...

Recevons le récit de saint Luc rapportant l’apparition de Jésus aux Apôtres dans tout son réalisme et sa vérité !

Dieu seul sait quand Il interviendra pour sauver l’Église ! Jusque-là, gardons la foi ferme dans sa venue !

Notre pape François est le saint que Dieu nous a donné pour confirmer ses frères dans la foi, présider dans la charité toutes les Églises et guider chacun dans les voies de la sainteté.

Abélard se sentait imbattable dans sa joute dialectique.
Bernard n’avait de sécurité qu’en Dieu.
Le Moyen Âge doit sa splendeur à la victoire de ce David contre ce Goliath !

Un an après la clôture du Concile, s’impose le constat d’une grave crise de la foi dans l’Église. Avec Maritain et Guitton, faut-il n’y voir que « les pas du diable précédant les pas de Dieu » ou l’apparition des fruits empoisonnés du Concile lui-même prônant l’ouverture au monde, la liberté religieuse et un œcuménisme sans bornes ?

« Vous n’êtes pas seuls. Seriez-vous les derniers fidèles de mon Église dans le monde entier, alors même je serais avec vous ! Vous avez ma Parole, ma Croix et mon Corps ! »

La Béatitude céleste ne consiste pas dans la vision, mais dans les unions tissées sur terre dans l’Église militante, glorifiées dans l’Église triomphante.

Après cette conférence, vous ne “ réciterez ” plus le Credo de la même manière ! Vous le méditerez, ébloui devant JE SUIS... tel Moïse devant le Buisson ardent !

Le but du prédicateur est de nous ouvrir le secret de cette âme fragile et forte : aux tourments existentiels, elle apporta toujours la réponse de foi catholique.

Le pape qui voudra redresser l’Église n’aura qu’à reprendre les textes et le programme de Pie X !

L’apologétique scientifique n’atteindra son but que si la prétention de la science à devenir une religion est démasquée ! C’est la faute de Kant !

Aimons et admirons saint Joseph, modèle de chasteté par sa foi pure !

L’encyclique du Pape est un monument sans précédent, parce qu’il ne se veut pas catholique ! Le Pape souhaite « proposer un mode de vie au goût de l’Évangile » en faisant appel à toute croyance ou religion.

La riche liturgie du baptême est porteuse d’une profonde théologie. En rénover les rites et la pastorale peut être opportun, à condition de ne pas stériliser ces efforts par une catéchèse frelatée...

Dieu est fort ! Dans notre société impie, Il multiplie ses grâces sur des hommes au profil parfois très étonnant ! Decoin, Frossard, Chaunu, Garaudy, Clavel ! Mais, réalité ou fiction ? Il faut savoir !

L’analyse objective, morale et doctrinale des apparitions de Medjugorje conduit à la même conclusion : elles sont d’origine diabolique !

L’abbé de Nantes répond aux questions de traditionalistes qui sont loin d’être unanimes sur Vatican II... Un demi-siècle après, l’auditeur pourra apprécier la justesse de ses analyses !

À l’école de saint Augustin et de notre Père, la double révélation de Dieu à Moïse dans le Buisson ardent suffit à sortir la théologie des ornières rationaliste et immanentiste !

En courant à la Crèche par une décision de leur cœur, les bergers passent de l’Ancien au Nouveau Testament ! Ils croient au Signe contemplé.

À la suite de la Sainte Vierge recueillant la dépouille mortelle de son Enfant, contemplons et adorons les Plaies sacrées du Corps du Christ dont l’image nous est révélée par le Saint Suaire.

En quoi consiste notre religion ? À nous faire plaisir ou à faire plaisir à Dieu ? À goûter les effets du Saint-Esprit ou à lui demeurer fidèles ? Finalement, voulons-nous être charismatiques ou catholiques ?

Qu’y a-t-il de plus grand que notre Roi dans la Crèche, entouré de ses saints parents ?
Admirons, aimons, remercions.

Thérèse a désiré vivre avec les impies pour les sauver afin qu’une voix d’amour vers Jésus s’en élève : ce fut sa nuit obscure de 18 mois.

Le chrétien naît une nouvelle fois à la vie divine par le baptême, devenant alors fils de Dieu à la ressemblance de Jésus !

Avec les deux larrons, c’est l’opposition immortelle de l’Esprit des Ténèbres et de la Lumière, au Calvaire comme aujourd’hui.

Les relations entre Paul, Pierre et Jacques sont fraternelles. Mais il y a eu zizanie, semée par les faux-apôtres.

Allons à la Crèche et inscrivons notre foi dans celle des juifs d’Ancien Testament puis des chrétiens en passant par les Mages aux cadeaux si symboliques ! Jésus et Marie : notre joie et notre richesse actuelles !

Abraham, plus grand que tous les philosophes, par sa foi et sa sainteté, nous est un exemple à suivre à l’approche du carême !

La lumière de la Transfiguration annonce celle de la Résurrection par laquelle Jésus laissa son empreinte sur le Saint Suaire. La foi fonde notre conviction, corroborée par la raison, et pas l’inverse !

Montons déjà de cœur avec Jésus au Ciel, avant que le corps suive ! Mais comme les vices ne montent pas au Ciel, il faut nous en détacher ! Leçon du grand saint Augustin !

La procession plaît au Cœur de notre Père céleste : nous reconnaissons son Fils et Il nous reconnaîtra !

Oui, notre foi croit que Jésus se donne à manger et boire dans l’Eucharistie. Beaucoup le nient, même traditionalistes. Pourtant, saint Jean Chrysostome le proclame avec force et réalisme !

Voyons dans l’acte de foi de l’apôtre Thomas une exhortation à passer au Mystère : il y faut l’amour !

Toute l’épître de saint Jean est tournée contre l’illuminisme moderne de Vatican II ! Nous vivons dans la foi, non dans l’expérience vitale !