La religion catholique est remplacée par une religion humaniste mondiale basée sur le culte de l’homme.

Avec cette Déclaration insensée et impie, plus de Vérité, plus d’autorité qui ne soit tyrannique, plus de Ciel ni d’Enfer, plus de vie sociale et familiale traditionnelle...

Ce document majeur condamne la révolution sociale chrétienne et l’anarchie sans Dieu ni maître au nom de l’Évangile !

L’humanisme athée de Gaudium et spes que notre Père réduit en miettes dans l’Autodafé ? Ce n’est qu’une resucée du vieux pélagianisme combattu naguère par saint Augustin !

Le Père focalise l’opposition de tous les tradis, parce qu’il refuse la doctrine des droits de l’homme du Pape, qu’ils avalent par amour du Pape ! Levons les ambiguïtés !

Notre Père a développé la seule analyse véritable des Actes du concile Vatican II, aboutissant à la dénonciation des trois hérésies conciliaires : progressisme, modernisme et gnose.

L’exposé implacable et limpide d’une entreprise de réforme de l’Église par une poignée de théologiens et de prélats perfides, qui tourna à la ruine systématique de sa doctrine et de ses institutions.

Par le schéma XIII et l’ajout de Karol Wojtyla (GS 22, 2), le « monde », celui pour lequel Jésus n’a pas prié, n’est pas mauvais et l’Église se met à son service... Opposition totale !

La liberté prêchée par Lamennais est-elle l’actualisation de l’Évangile pour notre temps ou une doctrine antichrist conduisant à la grande apostasie ?

L’homme moderne élève la science au-dessus de la foi et identifie la cité terrestre avec le Royaume de Dieu. Le Concile approuve !

Nous assistons à l’avènement dans l’Église de l’individualisme qui remplace le si nécessaire bien commun !