Qu’est ce que la religion de Contre-Réforme ? Aujourd’hui encore, comme aux XVI^e et XVII^e siècles, c’est la religion parfaite produisant des fruits de salut, quels que soient les peuples et leur état d’avancement dans la civilisation.

Martyr de sa fidélité à Dieu sans altérer en rien sa fidélité au Roi, comme cet autre Chancelier saint Thomas Becket, Thomas More est notre modèle de saint laïc CRC !

Notre mouvement ? Aussi loin de l’hérésie que du schisme : juste catholique, mais contre la prétendue réforme de Vatican II que le Pape, pasteur du troupeau, doit condamner !

Contre-réformistes, contre-révolutionnaires, notre vérité religieuse se projette dans un ordre social : quelle plénitude !

En 1517, Luther brise la Chrétienté. Comment cet homme a-t-il pu arracher à l’Église la moitié de l’Europe ? Pourquoi la Chrétienté n’a-t-elle jamais pu reprendre le dessus sur les puissances protestantes ?

L’anti-mal français :
Pendant deux mille ans, l’Église répandit l’Évangile par la Croisade, l’Inquisition et la monarchie très chrétienne. Les frères le prouveront !

L’un des fruits de la Contre-Réforme catholique au XVIe siècle est le développement incroyable des missions. Saint Alphonse-Turibe et saint Jean de Britto sont deux exemples très attachants de ce renouveau.

Vous voulez restaurer la nation française ? Commencez par vous préoccuper des familles, et en premier lieu de la vôtre !

Pour tenir tête à l’invasion de l’hérésie, notre Père fit front de tout son cœur d’apôtre afin de défendre vigoureusement la foi des enfants de France !

De la profession catholique de notre Credo phalangiste découle d’abord une fidélité religieuse, à Jésus-Christ et son Église, dans la dévotion à Notre Dame de Fatima, gage de prédestination !

Frère Bruno nous fait admirer et méditer les principales œuvres de la peinture religieuse du Grand Siècle exposées au Musée Carnavalet : un beau témoignage de la religion mystique de nos pères !

Saint François de Sales nous révèle Dieu dans sa miséricordieuse bonté et l’amour divin du cœur qu’il forme avec sainte Jeanne de Chantal embrasera son siècle du feu du saint amour.

La désorientation diabolique est omniprésente, que ce soit dans l’Église ou dans la société. Pour y remédier, avant toute chose, une Contre-Réforme catholique est nécessaire.

Même avec un Pape catholique, il n’y a pas moyen de faire l’économie d’une nécessaire Contre-Réforme.

Fatima demeure plus que jamais l’unique recours capable d’apaiser nos angoisses pour la patrie et pour l’Église, en portant remède à tant de maux par la grâce du Cœur Immaculé de Marie.

Nous sommes, grâce au Ciel, sous la houlette d’un Pape catholique qui fait son devoir. Notre devoir est donc double : d’abord le lui laisser faire, et puis le lui faciliter.

Les manuscrits de Qumrân nous révèlent ce que furent les esséniens et leur doctrine. Issus d’un mouvement de “ contre-réforme ” juive, ils seront les premiers à se convertir au christianisme.

En pleine bataille conciliaire, notre Père dénonce les traîtres qui sacrifient la Chrétienté pour le triomphe de leurs idées progressistes ! Sûr de sa foi, il se dresse sur les remparts de la Cité catholique...

Comment répondre à l’angoisse pour notre pays ? En cernant son mal : la démocratie, c’est la mort de la France. Alors, la monarchie ? Il faut suivre cette démonstration très serrée pour en être convaincu et repartir avec le remède et les solutions !

Saint Jean Bosco fut pour notre Père un modèle de Contre-Réforme et de Contre-Révolution. Il puisa dans ses prophéties sa joyeuse espérance du triomphe de Marie-Auxiliatrice.

Laissons-nous entraîner par le charme puissant qui se dégage de la vie et la personnalité de saint François de Sales et de Madame de Chantal, qui préparèrent la grande révélation du Sacré-Cœur de Jésus !

La Contre-Réforme, engagée par saint François de Sales, reprise par saint Jean Bosco, a été poursuivie par notre Père. La victoire nous est promise si nous restons fidèles.

L’exposition des chefs-d’œuvre des églises parisiennes au XVIII^e siècle nous montre qu’à l’époque des prétendues “ lumières ” et des philosophes impies, l’inspiration religieuse restait, et fortement, de Contre-Réforme !

C’est le jeune abbé de Nantes qui nous permet de conclure cette étude. Dans l’orage, il tenait tête à la subversion révolutionnaire et progressiste, préparant la pleine restauration de la Chrétienté.