Dans le combat héroïque de Thomas Becket contre Henri II jusqu’au martyre pour défendre les droits de l’Église, nous admirons un saint de vitrail !

Martyr de sa fidélité à Dieu sans altérer en rien sa fidélité au Roi, comme cet autre Chancelier saint Thomas Becket, Thomas More est notre modèle de saint laïc CRC !

Le Père est obligé de s’opposer aux jugements des gens de droite dans l’affaire des Malouines, sur Israël au Liban, sur les actes du Pape à Fatima et en Angleterre.

Notre malheureux pape convoie plus que jamais la ruine de l’Église et de la civilisation en se montrant l’inconditionnel apôtre du Concile. La famine sera le châtiment médicinal de cette impiété.

Sous la guide l’Église, la Chrétienté change de visage : au rêve d’un empire universel se substitue le chef d’œuvre du concert des nations chrétiennes, dont la doulce et sainte France est le fleuron.

La grande force de la F.M. est de faire croire à sa tolérance, sa recherche de la vérité et sa solidarité universelle. Mais derrière cette belle façade se cache un double secret ténébreux.

Trahison des Blancs de Russie et complicité avec les bolcheviques ; éviction de la France et de ses missionnaires du Levant au profit de l’Angleterre capitaliste... Voici la chronique honteuse d’une fausse paix.

Voulue par Dieu, la Nouvelle-France est une œuvre communautaire, qui bénéficia de l’héroïsme des premiers colons et d’une intervention salutaire du Roi très-chrétien.

Pour rétablir la situation, il suffit de demander l’aide de Notre-Dame, elle seule peut nous secourir ; en attendant, le monde et l’Église s’embourbent dans les catastrophes.

L’utopie révolutionnaire poursuivie par Napoléon III met le gouvernement de la France au service de la libération des peuples... Pour notre malheur en 1870.

Par le refus de Louis XIV d’ancrer sa gloire dans celle du Sacré-Cœur, l’Europe protestante et anglo-saxonne se substitue à l’Europe latine, chrétienne et française.

La première partie de la vie de Louis XV est éblouissante ! Le sommet de la grandeur française. Mais la franc-maçonnerie aura raison de lui...

Année 1900 : année tournante où se joua l’avenir de la France, de l’Église et du monde. Tout était possible. Ce fut l’échec. Pourquoi ? Il faut savoir !

La politique française de 1905 à 1928 vérifie tragiquement le constat de Maurras consigné dans un livre magistral, Kiel et Tanger : la République ne peut avoir de politique étrangère.

L’encyclique du Pape en contient deux : une catholique et une autre maçonnique... Il faut donc reprendre le combat, mais sans désespérer, car la foi du Pape est sincère.

L’opposition de saint Thomas More à son roi, par devoir de conscience, présente un parallèle saisissant avec le grand drame de la vie de notre Père, qui atteignait son paroxysme en cette année 1996.

Le Père réexplique sa décision de voter Chirac dès le premier tour : il s’agit de prolonger le redressement de la France commencé par lui – pas par Le Pen – depuis 1986 et d’assurer la survie de la Nouvelle-Calédonie.

Au terme de cette conférence, nous comprenons les raisons profondes de la guerre inexpiable de 1914, son déroulement et son mauvais traité. Un cours pointu de géopolitique !

Hugues, Henri, Philippe, Louis, ces rois-moines, ces rois-soldats de la magnifique dynastie capétienne doivent leur élévation et leur sagesse à l’action de l’Église et de ses moines !

Après la décadence politique et morale de la Régence, le règne de Louis XV s’ouvre, magnifique ! victorieux ! jusqu’à l’arrivée de la Pompadour...

Martyr de sa fidélité à Dieu sans altérer en rien sa fidélité au Roi, comme cet autre Chancelier saint Thomas Becket, Thomas More est notre modèle de saint laïc CRC !

En 1517, Luther brise la Chrétienté. Comment cet homme a-t-il pu arracher à l’Église la moitié de l’Europe ? Pourquoi la Chrétienté n’a-t-elle jamais pu reprendre le dessus sur les puissances protestantes ?

L’utopie révolutionnaire poursuivie par Napoléon III met le gouvernement de la France au service de la libération des peuples... Pour notre malheur en 1870.

La politique française de 1905 à 1928 vérifie tragiquement le constat de Maurras consigné dans un livre magistral, Kiel et Tanger : la République ne peut avoir de politique étrangère.

Qu’est-ce que la Révolution ? Une machine de guerre implacable pour anéantir les nations chrétiennes et chasser Dieu de la scène internationale...