Ce sont des faits connus de tous qui sont ici présentés chronologiquement (1964-1978) et qui nous révèlent la formidable et systématique volonté de puissance du pape Paul VI. Il n’a reculé devant rien pour imposer son “ nouvel humanisme ”, son culte de l’homme, à l’Église. C’est lui le maître du Concile, le véritable chef d’orchestre des intrigues et malversations qui eurent raison de la bonne foi des Pères. Perte de la foi, scandales financiers et de mœurs, politique cryptocommuniste, etc. C’est avec un autoritarisme inouï qu’il a imposé ces désordres et ruiné l’Église. C’est sans s’en repentir qu’il est mort. Qui osera le proclamer bienheureux ?
Concile Vatican II - Culte de l’homme - Paul VI (Jean-Baptiste Montini, pape) - Réformateur - Humanisme - Liberté religieuse - Pape - Scandales