Il fallait faire toute la vérité sur la grande hécatombe de cette guerre, dire la responsabilité personnelle de chefs incapables, sélectionnés et promus pour leurs seules vertus républicaines, commandant aveuglément, obstinément des offensives folles, sans regarder au “ matériel humain ”. Un signe : la mutinerie des meilleurs régiments, et une preuve, affreuse, odieuse, suffisante, le poteau d’exécution des lieutenants Herduin et Millaud. Notre Père dénonce la gloire usurpée de Foch et Clemenceau, au détriment de celle, cent fois méritée, de Lanrezac, Castelnau, Gallieni, Franchet d’Esperey et du plus excellent, du plus humain, du plus vénéré de tous : le général Pétain.
Allemagne - Armée française - Grande Guerre (Première Guerre mondiale) - Histoire de France - Pétain (Maréchal Philippe) - Vingtième siècle - 11 novembre - Clemenceau (Georges) - Foch (Maréchal) - Joffre (Maréchal) - Mutineries - Offensive à tout prix