Ils furent 620 000 volontaires à venir se battre en Europe (le Canada ne comptait à l’époque que 8 millions d’habitants). Dans l’armée anglaise, où ils furent enrôlés, on trouve la même opposition que dans l’armée française entre deux types de stratégies. D’abord commandés par le général Alderson, partisan de l’offensive à outrance, les Canadiens subirent de lourdes pertes et furent battus à Ypres (1915). Repris en main par le général Byng, appliquant les méthodes tactiques de Pétain, ils remportent les victoires de Courcelette et de Vimy. Le général canadien Currie, enfin, perfectionnant la méthode Byng, entraîne ses troupes vers de nouvelles victoires (Paschendaele, Amiens). Frère Pierre raconte cette épopée à la lumière des enseignements de notre Père.
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