Au-delà des institutions républicaines qui ont mené le pays à l’abîme, l’abbé de Nantes dénonce un mal plus profond encore : la folle doctrine des papes, ralliant de force les catholiques de France, de Belgique, du Canada et du Portugal aux pouvoirs issus de la Révolution, au nom d’une prétendue soumission au gouvernement établi et d’une pernicieuse indifférence de l’Église en matière politique. Ainsi de Léon XIII le libéral, en passant par Benoît XV le pacifiste, jusqu’à Pie XI le théodémocrate, ami de l’Allemagne et de la Russie soviétique, malgré les avertissements de Notre-Dame à Fatima et à Tuy. On s’indigne que l’Église ait pu être complice à ce point des pires ennemis de notre civilisation. Mais ce qu’elle a mal fait hier, elle le réparera demain, en renouant avec la vraie doctrine politique d’un Mgr Freppel et d’un saint Pie X.
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