Au lendemain de la Grande Guerre, l’anarchie des pays européens et la montée du bolchevisme suscitèrent presque partout une série de réactions nationales instaurant ces dictatures qu’on nous donne maintenant à haïr, sous le nom de “ fascismes ”.
Dans une conférence prononcée en 1976 (retranscrite dans les CRC no 105 et 106), l’abbé de Nantes explique ce que furent ces différentes dictatures et quelle attitude l’Église adopta vis-à-vis d’elles, depuis les dictatures sanguinaires et diaboliques du bolchevisme et du nazisme jusqu’à celles, catholiques et de salut public, de Franco et de Salazar. Avec cette conclusion, lumineuse : le fascisme était nationaliste par nécessité, par instinct vital et par raison. Mais il n’a valu que ce que valait la religion nationale dont il s’inspirait.
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