La Chrétienté médiévale est fille de saint Augustin. Quinze siècle plus tard, il revit en l’abbé de Nantes, pour la faire renaître avec davantage de splendeur encore !
Voici la figure forte et attachante de saint Augustin, moine et évêque, vrai mystique et vrai intellectuel, pour l’honneur de Dieu, l’écrasement des hérésies et le salut des âmes.
En première page des 150 Points, notre Père a fait imprimer ces quatre mots : « Nôtre est le vrai ». Déjà, saint Augustin aurait souscrit à cette devise : pour lui comme pour nous, seule la vérité compte.
C’est par l’amour que le Christ a saisi saint Augustin, l’attirant de la recherche de l’amour à la quête de la sagesse, jusqu’à l’Église qui l’a enfanté à la Foi. L’Amour est souverain !
À l’école de saint Augustin et de notre Père, la double révélation de Dieu à Moïse dans le Buisson ardent suffit à sortir la théologie des ornières rationaliste et immanentiste !
Nos frères de l’atelier audio ont pu enregistrer un sermon inédit de saint Augustin ! L’Ancien Testament et la mythologie grecque sont comme l’eau de Cana changée en vin évangélique par le Christ.
« Ô Seigneur, je suis votre serviteur et le fils de votre servante », s’écrient Augustin et Georges de Nantes au souvenir de leur sainte mère. Ce double lien de maternité et Paternité enserre toute leur destinée.
« Nous ne voulons pas que le Christ règne sur nous », hurlent les démocrates-chrétiens comme les juifs et les païens de jadis. Hier comme aujourd’hui, la ruine de Rome est le salaire de cette impiété.