Notre bien-aimé Père reste présent parmi nous, par la parole de frère Bruno qui nous retrace, à travers les événements de son enfance et des premières années de sa vie ecclésiastique, la maturation de son extraordinaire vocation.
Le premier tome des Mémoires et Récits révèle en notre Père un incomparable fils de l’Église de France, depuis le jour de son baptême, jusqu’à son entrée au séminaire.
Notre Père n’a jamais cessé de dénoncer le culte de l’homme qu’il voyait s’imposer peu à peu dans l’Église, bien avant Vatican II, prévoyant qu’il mènerait l’Église à l’apostasie et la Chrétienté à la ruine.
Commentant le second tome des Mémoires et Récits, frère Bruno nous fait admirer à quel point notre Père fut au séminaire l’enfant légitime de cette Église fidèle d’avant la Libération-révolution de 1944.
En ces années 1945-1946, notre Père manifeste une humilité et une sagesse surnaturelles qui lui font aimer et défendre les trésors de la tradition de l’Église contre les désorientations d’un réformisme naissant.
Toutes les désorientations qui mèneront un jour l’Église à la ruine, notre Père les a rencontrées dès son séminaire. Assisté par le Saint-Esprit, il évita tous les pièges !
À peine notre Père était-il ordonné prêtre, le 27 mars 1948, qu’il affronta, oint du don de Force, la révolution sous toutes ses facettes. Ce défenseur de l’Église et de la Cité est un homme de progrès et surtout un cœur !
C’est par la grâce de l’amitié de l’abbé Vimal, l’incomparable ami, que le don de Sagesse fit du jeune séminariste Georges de Nantes un fils de l’Église, puis à son tour un incomparable Père...
Curé zélé en même temps que fondateur d’un Ordre de moines-missionnaires, l’abandon de l’Algérie et les progrès de l’apostasie révèlent à notre Père le caractère providentiel et prophétique de sa vocation