Le XIIIe siècle français fut le siècle chrétien par excellence, parce qu’il fut le siècle du règne sans partage du Christ, par sa grâce, sur la France.
Le XIIIe siècle français est le siècle de la grâce qui se manifeste en fruits de beauté, de vertus et de raison : il n’est que de visiter la cathédrale de Chartres avec frère Bruno pour s’en convaincre !
Les rois capétiens du XIIIe siècle, tel David, ont usé de la clémence politique comme principe de gouvernement, selon l’augustinisme politique, à mi-chemin entre deux écueils possibles...
Un roi de légende, dont la précoce sagesse politique, la force et la piété portèrent la France au zénith après Bouvines, dans un embrasement de ferveur monarchique, fruit de l’union mystique du roi et de son royaume !
Un petit cours de philosophie pour comprendre les tenants du combat philosophique qui se déroula au XIIIe siècle entre deux tendances dont l’enjeu était la Sagesse !
Cette conférence philosophique sur saint Augustin fera comprendre les enjeux du choc que constitua au XIIIe siècle l’arrivée d’Aristote : jusqu’alors, toute la religion du Moyen Âge était augustinienne...
L’autonomie du politique et de la philosophie – au centre des débats du XIIIe siècle – ne signifie pas affranchissement de la religion. Les rois et les saints l’ont compris, pour le salut de tous ! Ce fut différent au XVIIe...
On a dit de saint François qu’il fut l’image de Jésus au XIIIe siècle. Aimons donc le Poverello, brûlant de l’amour du Christ et brûlant d’en brûler ses frères !
Au terme de cette conférence, bien des erreurs sur les Albigeois, la Croisade, Simon de Montfort et le tribunal de l’Inquisition sont réfutées, preuves à l’appui !
« Blanche la sage, Blanche la vaillante, Blanche la bonne reine de France qui si bien et si sagement gouverna le royaume » rapportèrent les Chroniques de Saint-Denis à sa mort !
Chanson d’Aimeri de Narbonne, La Quête du Saint Graal, chants d’amour de Thibaut de Champagne et de Gautier de Coinci, voilà la belle récréation que nous offrirent nos jongleurs d’un soir !
Tel le roi David, saint Louis peut être considéré comme une figure de Jésus ! Son courage, sa sagesse, sa piété, sa justice justifient la douleur unanime du peuple de France à sa mort !
Autour de saint Louis, sa grand-mère, Isabelle de Hainaut, sa sœur Isabelle et son épouse, Marguerite, vont illuminer le règne de sainteté, de piété, de beauté et de courtoisie !
Découvrez le poète Rutebeuf si émouvant, parfaitement interprété par notre ami ! appelant à la générosité royale mais aussi au départ en Croisade et au repentir de ses fautes !
Après le succès de la Première Croisade qui fonda l’empire du Levant, les luttes et rivalités intestines provoquèrent son effondrement, entraînant des croisades de reconquête sans lendemain... Mais l’histoire ne s’arrête pas là !
Découvrez une parodie de l’épopée et des romans courtois dans le Jugement de Renart, dont nos pères se récréaient sans crainte ni pudibonderie !
Saint Louis fit vœu de se croiser après sa guérison miraculeuse, tout pénétré de l’esprit de la première Croisade. Ayant sauvé pour un temps la Chrétienté franque de Syrie, il a conquis la Jérusalem céleste à Tunis !
Découvrons trois poèmes chantant avec émotion et conviction les différents sentiments des croisés !
Une conférence de philosophie nous introduisant dans la crise qui secoua le XIIIe siècle : l’introduction d’Aristote dans les Universités. Fallait-il refuser, accepter ? Les enjeux étaient considérables !
Un passage du Roman de la Rose, illustrant l’engouement du courant aristotélicien pour la Nature dans la confession dialoguée de Dame Nature avec Génius, nous fera entendre les échos des diputes des artiens !
Suivez la visite commentée et détaillée du portail de Bourges par notre frère Bruno : une splendeur d’art et de foi !
Contre la révolution de l’introduction de l’aristotélisme dans la philosophie et la théologie, les docteurs franciscains rétablissent avec hardiesse et génie le primat de la Révélation, source de toute connaissance !
Les époux vierges, Elzéar de Sabran et Delphine de Signe, offrirent une extraordinaire aventure spirituelle, que l’enquête canonique menée par l’inquisiteur auprès de cette dernière nous fait découvrir !
Le règne de Philippe IV le Bel, si décrié par les modernes, fut celui d’un roi combattant, défenseur de la foi et de la justice, méritant le beau titre de Philippe le Catholique !
Au sommet de civilisation où était parvenu le XIIIe siècle, succède une décadence, en Occident et en Orient. C’est cette fresque que nous retrace frère Bruno en conclusion du camp.
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