Figure emblématique de la Contre-Réforme catholique, saint François de Sales fut, dans sa divine amitié avec sainte Jeanne de Chantal, une vivante image de la bonté du Cœur de Jésus.

L’histoire d’amour sans précédent que nous sommes appelés à admirer dans cet oratorio, en dix tableaux, est l’admirable image de l’Amour éternel de Jésus et de Marie qui ne font qu’un unique Cœur.

Laissons-nous entraîner par le charme puissant qui se dégage de la vie et la personnalité de saint François de Sales et de Madame de Chantal, qui préparèrent la grande révélation du Sacré-Cœur de Jésus !

Dans une Église où triomphe l’hérésie protestante, la fidélité à saint François de Sales et à la Contre-Réforme est devenue un crime !

L’histoire d’amour sans précédent que nous sommes appelés à admirer dans cet oratorio, en dix tableaux, est l’admirable image de l’Amour éternel de Jésus et de Marie qui ne font qu’un unique Cœur.

Saint François de Sales prêche la béatitude commencée ici-bas par l’immersion dans le mystère de l’amour circulant entre Jésus, Marie, Joseph et le prochain ! Joie !

Avec saint François de Sales, reconnaissons et aimons dans les événements de notre vie la douce Volonté de notre Père céleste très chéri !

La Contre-Réforme, engagée par saint François de Sales, reprise par saint Jean Bosco, a été poursuivie par notre Père. La victoire nous est promise si nous restons fidèles.

Ce pèlerinage au Saint Suaire, d’Annecy à Turin, prit figure de Croisade contre ceux qui profanent ce saint Drap par leurs négations impies.

Sainte Thérèse est une miniature de la Sainte Vierge et préfigure l’Église luttant – victorieuse – contre les démons de notre apostasie moderne.

Saint François de Sales nous révèle Dieu dans sa miséricordieuse bonté et l’amour divin du cœur qu’il forme avec sainte Jeanne de Chantal embrasera son siècle du feu du saint amour.

L’Enfant-Jésus qui vous tend les bras sur les genoux de sa divine Mère et les saints qui l’entourent dans la crèche vous prêchent éloquemment que notre religion est un amour !

La tendresse et la dévotion pour notre Mère Immaculée sauveront le monde !

Le jansénisme : un vrai imbroglio politico-religieux qui empoisonna le Grand Siècle et que le Père s’efforce de clarifier. Pendant ce temps, la dévotion à Jésus et Marie est bien oubliée !

L’enfer existe, où tombent les impies. Les prières sont-elles inutiles ? Écoutez la leçon pleine d’espérance de notre Père.

L’Épiphanie fut aussi source de grandes douleurs : massacre des saints Innocents et fuite en Égypte... Sachons compatir aux souffrances de la Sainte Famille et la consoler !

L’autonomie du politique et de la philosophie – au centre des débats du XIII^e siècle – ne signifie pas affranchissement de la religion. Les rois et les saints l’ont compris, pour le salut de tous ! Ce fut différent au XVII^e...

– Qui êtes-vous ?
– Je suis l’Immaculée Conception.
Le secret doit être là ! Cette parole l’incendiait d’amour, mais il l’entendait mal. Notre Père nous la fait entendre en toute vérité.

Amour de Dieu, amour du prochain au sein même des épreuves, là est la clé de notre destinée. Suivons nos modèles !

La grandeur de l’homme chrétien est d’être disciple de son Maître dans la Vérité et l’Amour !

Ce que les saints ont fait de leur vie nous est possible, si nous imitons leur confiance en Dieu.

Dédaignant les critiques que sa dévotion nouvelle pour l’Immaculée peut exciter, le Père s’y maintient et annonce même faire un pas de plus !