Pour interpréter les affaires si complexes de l’Église et du monde, le Père nous livre les clés d’interprétation quasi universelles : la nécessaire révolution de l’Église et l’abandon de toute souveraineté nationale, deux conditions pour l’avènement de la civilisation de l’amour, prônée par des utopistes cachant la judéo-maçonnerie. Utopie que les barbares se chargent de mettre à mal, mais qui explique faits et gestes de l’Église ! Que faire ? Contraindre Rome à retrouver la foi – c’est le sens des trois cailloux que le Père a décidé de lancer ! – et travailler à l’idée monarchique.
Assise (réunion, 27 octobre 1986) - Concile Vatican II - État souverain - Jean-Paul II (pape) - Judéo-maçonnerie - MASDU - Révolution nationale - Trois cailloux