La guerre est l’état constant des sociétés dominées par Satan ; la paix est une réussite fragile de la vertu des hommes. Le soldat chrétien en est l’artisan par excellence, mais seule la grâce de Dieu la rend possible.

En 1983, l’Europe sera anéantie par l’URSS : nous sommes perdus humainement. Le seul remède ? Croire au miracle annoncé à Fatima, prier, rejeter la démocratie et travailler au redressement de la France ! L’heure est très grave.

Une société ne peut vivre qu’avec un Ordre immuable et sacré, une Autorité revêtue de la majesté du Droit et des chefs capables de gouverner !

« Il faut qu’il y ait des persécutions » pour souffrir et convertir les pécheurs.
« Avoir souffert dans les mains de l’Immaculée, c’est une gloire ! »

Les points 66 à 85 dénoncent la démocratie, impie et absurde, antireligieuse et antinationale, pour lui opposer la science politique de la Sainte Vierge : nationale, catholique, intégrale !

Impossible d’avoir la paix tant que les hommes refuseront de se tourner vers Dieu et le Cœur Immaculé de Marie pour construire plutôt la “ tour de Babel ” révolutionnaire.

Jésus est trahi par les catholiques eux-mêmes, en Italie, en France, au nom de la laïcité, tandis que le Pape exclut la Sainte Vierge en l’ignorant volontairement et en détruisant le chapelet.

La vision du troisième Secret de Fatima se réalise sous nos yeux : l’incendie des guerres et des persécutions contre les chrétiens au Moyen-Orient et en Afrique ; un Saint-Père vacillant désireux de promouvoir la paix, mais pas toujours avec les bons principes d’action.

La preuve que le pacifisme et la démocratie prêchés par Vatican II mènent le monde à sa perte ? C’est leur inobservance qui permet au travail, à l’ordre et à la nation de prévaloir en Russie et en Hongrie !

Le Pape profite de son voyage dans une Chrétienté ruinée pour promouvoir son rêve de fraternité universelle : il appelle l’Église des martyrs à se faire la servante du monde... musulman !

Notre Père nous donne ici sainte Jeanne d’Arc comme modèle de sagesse politique et de perfection morale : en tant que fidèles de la sainte Église catholique, notre lutte politique et religieuse au service de Dieu doit prendre ses racines dans le surnaturel, et notre vie personnelle doit être soutenue par l’amour de Jésus et Marie pour que notre œuvre porte des fruits.

La prudence : un cadre vide à remplir de charité évangélique, parce que Jésus nous supporte sans mesure.

L’Église, après la Pentecôte, est l’Épouse comblée de biens de son Époux divin, féconde, paisible et joyeuse !

Avec le don du Saint-Esprit, « ne craignez pas, petit troupeau ! »

Le chrétien peut et doit être heureux et paisible dans les tourmentes : nous avons de quoi y faire front !