Charles Maurras a établi la définition de la nation : peuple organisé et limité, gouverné avec ordre et justice par un État.
Comment et pourquoi garder sa cohésion ? Actuel !

Les points 66 à 85 dénoncent la démocratie, impie et absurde, antireligieuse et antinationale, pour lui opposer la science politique de la Sainte Vierge : nationale, catholique, intégrale !

À la nouvelle de la signature du traité de Maastricht, véritable suicide national au profit d’une prétendue Europe dominée par l’Allemagne, notre Père titrait : « Mitterrand après de Gaulle en Haute Cour ! »

Frère Michel résume, en l’illustrant de nombreux exemples tirés de l’histoire de France, la doctrine de “ politique totale ” de l’abbé de Nantes, exposée à la Mutualité en 1983-1984.

Sous la guide l’Église, la Chrétienté change de visage : au rêve d’un empire universel se substitue le chef d’œuvre du concert des nations chrétiennes, dont la doulce et sainte France est le fleuron.

Les points 86 à 100 tracent les grands axes d’une restauration catholique et royale de la nation et de son gouvernement.

Pour une véritable restauration nationale, renouons avec le paternalisme et un sain équilibre des communautés constitutives de la nation, en particulier au sein de l’entreprise.

Le passage de la religion à la politique se fait par la reconnaissance de l’empire souverain de Jésus-Christ et de sa divine Mère sur toute société. La politique réelle, c’est le combat entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan.

« Les rois sont toujours armés. Ainsi les États demeurent forts au-dehors contre l’ennemi, au-dedans contre méchants et rebelles, et la paix publique est assurée ! » (Bossuet)

L’homme étant un animal politique selon Aristote, il faut donc étudier la politique ou l’art du bon fonctionnement des sociétés humaines, depuis la famille jusqu’à l’au-delà des nations.

Le “ surréalisme ” “ bétonné ” de notre société occidentale produit le racisme. Alors, quelle solution ? L’immigration est un problème secondaire. Ce qu’il faut, c’est “ frapper à la tête ” !

Les mêmes raisons provoquent la mort des sociétés civile et ecclésiastique : le dégoût de ce qui fit leur grandeur, leur fierté et leur vitalité.

Un survol de nos 150 Points, révisés, selon le vœu de notre Père, à la lumière de la place centrale de l’Immaculée Conception !

Aux États-Unis, en Europe, en Afrique, en Russie, la démocratie mondialiste c’est le mal, c’est la mort. Le remède est nationaliste !

La victoire des talibans sur les États-Unis est tragique. L’Afghanistan pourrait devenir la base arrière, en pleine Asie centrale, d’un mouvement international de terrorisme islamique.

L’Église reconnaît à l’État le droit de vie et de mort, de guerre et même de torture, dans l’intérêt du citoyen et de la nation. Depuis Vatican II, les Droits de l’homme s’y opposent. À tort.

« Les 150 Points se prétendent universels. Mais jamais un Brésilien ou un Japonais ne s’intéressera aux points consacrés à la monarchie française ?! » Notre Père répond à cette objection d’un ami.