Dans la première partie, le Père rappelait les principes d’une saine gestion de l’immigration, telle qu’elle avait pu être pratiquée par nos états catholiques d’Ancien Régime.
Voici maintenant l’analyse du malaise moderne : au réalisme du discours développé en première partie, notre Père oppose le “ surréalisme ” “ bétonné ” de notre société occidentale qui produit le racisme. Mais alors, quelle solution ? L’immigration est un problème secondaire. Ce qu’il faut, c’est “ frapper à la tête ” !
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