Sur les sujets aussi sensibles actuellement que la peine de mort et la guerre, le Père rappelle et explique l’enseignement constant de l’Église antéconciliaire : oui, l’État a le droit de décréter la mort, de déclarer la guerre et même de torturer, un droit non pas absolu mais relatif à l’intérêt de l’innocent et la survie de la nation. L’objection de conscience, elle, est irrecevable.
Pourquoi cette morale classique est-elle attaquée par des traîtres ou / et des utopistes ? À cause des Droits de l’homme déclarés inaliénables et de la négation des fins dernières.
Avortement - Droits de l’homme - Euthanasie - Église - Fins dernières - Guerre - Guerre (droit à la) - Kant (Emmanuel) - Morale catholique - Nation - Non-violence - Objection de conscience - ONU (Organisation des Nations Unies) - Paul VI (Jean-Baptiste Montini, pape) - Peine de mort - Rousseau (Jean-Jacques) - Torture - Toulat (abbé)