En 1983, l’abbé de Nantes accuse Jean-Paul II d’hérésie, dévoilant sa véritable personnalité de novateur et de corrupteur. La charge décisive est la dénonciation de son refus du message de Fatima.

La gnose de Jean-Paul II est une totale falsification du christianisme : accorder à tout homme, toute femme, des privilèges que Dieu a voulu donner à Jésus et Marie seuls.

Pendant le camp de la Phalange, nos jeunes gens ont étudié comment à l’hérésie totale de Jean-Paul II idolâtrant l’Homme, notre Père à opposé une doctrine totale, incomparable.

La défense loyale de la vérité conduira notre Père jusqu’à Rome, pour accuser Paul VI puis Jean-Paul II de substituer le culte de l’homme au culte de Dieu.

Notre Père a dénoncé dans “ Fides et Ratio ” la gnose de Jean-Paul II : réconcilier l’Église avec ses ennemis, par la simple raison humaine, en vue de l’unification de l’humanité.

La religion catholique est remplacée par une religion humaniste mondiale basée sur le culte de l’homme.

Notre Père identifia la “ gnose unanimiste ” de Jean-Paul II, imposée à l’Église par le Catéchisme de l’Église catholique, à l’encontre duquel il déposa à Rome le 13 mai 1993 un troisième livre d’accusation.

Analyse des douze hérésies, douze désorientations diaboliques contenues dans le CEC, qui vident l’Église de sa substance surnaturelle pour mieux la rendre épouse du monde.

Les déclarations du père Dupuy comme la vie de Mère Teresa illustrent les fruits du Concile après vingt-cinq ans de pontificat de Jean-Paul II : le passage de la foi catholique à l’apostasie.

Le combat de notre Père, mis en parallèle avec le message de Fatima, est exposé pour ses 50 ans de sacerdoce dans un montage vidéo réalisé par nos frères et amis canadiens.

Saint Suaire, gnose pontificale, accords avec les ralliés, dossier des châtiments, marché unique : voilà bien des sujets d’angoisse. Cependant existent de vrais chefs d’État, une leçon réconfortante !

Après avoir combattu sur tous les fronts, il souffrit la longue agonie de son Église pour l’Église, dans la certitude de la victoire de l’Immaculée, dont le culte est le seul antidote au culte diabolique de l’Homme.

Tandis que s’ouvre le procès de Jean-Paul II, où sera enfin examinée la pureté de sa doctrine, Benoît XVI donne raison à l’abbé de Nantes en abjurant l’erreur capitale du CEC !

Cette pièce de théâtre montre, par la mise en scène d’un procès de béatification, avec les analyses de notre Père, l’impossiblité de déclarer l’héroïcité des vertus de Jean-Paul II

Le CEC place tout le monde au Ciel, sans distinction de l’ordre naturel et surnaturel ! Erreur prodigieuse qui rend inutile le baptême !