L’encyclique du Pape est un monument sans précédent, parce qu’il ne se veut pas catholique ! Le Pape souhaite « proposer un mode de vie au goût de l’Évangile » en faisant appel à toute croyance ou religion.

Se peut-il que François canonise Paul VI ? Frère Bruno rappelle l’hérésie, le schisme et le scandale manifestés par sa nouvelle religion, le MASDU, origine des scandales où se débat aujourd’hui l’Église.

Il faut consoler notre Mère : tandis que la guerre et le chaos progressent dans le monde, le Pape envoûte les foules par son rêve de fraternité universelle au lieu de prêcher la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.

Le passage de la religion à la politique se fait par la reconnaissance de l’empire souverain de Jésus-Christ et de sa divine Mère sur toute société. La politique réelle, c’est le combat entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan.

La réaction de Mgr Athanasius Schneider au document d’Abou Dhabi signé par le Pape et l’imam d’El-Azhar, est une divine surprise dans cette apostasie où s’enfonce l’Église.

L’exposé clair de la destruction systématique de l’Église entreprise par le Pape, possédé par un illuminisme diabolique, fait frémir et nous incite à prier plus que jamais pour sa conversion.

Impossible d’avoir la paix tant que les hommes refuseront de se tourner vers Dieu et le Cœur Immaculé de Marie pour construire plutôt la “ tour de Babel ” révolutionnaire.

La déclaration Nostra Ætate constitue l’antithèse et la contradiction intégrale de la doctrine catholique traditionnelle. Vatican III devra la condamner et affirmer que la Chrétienté sera le genre humain !

Le voyage de repentance du Pape avalise les mensonges du gouvernement et des médias canadiens sur l’œuvre civilisatrice et missionnaire de l’Église au Canada, œuvre sainte et glorieuse qu’il renie.

Consacrée par le Pape, la Russie a obtenu la protection du Ciel face aux forces déchaînées contre elle. Mais l’opposition du Saint-Père à la dévotion réparatrice entraîne le durcissement de la crise.

Le Concile reconnaît la valeur spirituelle de toute religion. Pire, il proclame le devoir pour chacune d’elles de constituer le ferment d’une fraternité universelle.

L’exposé implacable et limpide d’une entreprise de réforme de l’Église par une poignée de théologiens et de prélats perfides, qui tourna à la ruine systématique de sa doctrine et de ses institutions.