Les conditions de la réussite de la fondation de la Nouvelle-France démontrent que Dieu a un dessein particulier sur ce “ petit peuple ” à qui il confie la conversion du continent. À travers le Régime anglais, puis celui de la Confédération et jusqu’à nos jours, ce dessein se continue, visible à travers mille aléas que l’analyse par l’abbé de Nantes de l’histoire de l’Église contemporaine et sa doctrine politique permettent de comprendre. Au-delà de l’actuel échec se dessinent les conditions de son renouveau et de sa réussite.

Tandis que les soldats canadiens se couvraient de gloire en France, la crise de la conscription occulta leur héroïsme et sonna le glas d’un nationalisme canadien rassemblant les deux peuples fondateurs.

Le dévouement héroïque des frères coadjuteurs oblats de Marie-Immaculée a été le complément indispensable du travail des prêtres missionnaires. Leurs vertus oubliées nous sont un admirable exemple !

Vie du frère Flavien Laplante, frère canadien de la Congrégation de Sainte-Croix et missionnaire au Bangladesh au 20^e siècle. Quel est le secret de ce travailleur acharné, ami des humbles, bâtisseur et directeur d’école... terreur des pirates ? L’amour de la Sainte Vierge.

Le voyage de repentance du Pape avalise les mensonges du gouvernement et des médias canadiens sur l’œuvre civilisatrice et missionnaire de l’Église au Canada, œuvre sainte et glorieuse qu’il renie.

L’oratorio réalisé cette année est extraordinaire, explique frère Bruno. Ce n’est pas une comédie, ce n’est pas du théâtre, on est emporté dans un élan qui mène à la croix.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

L’ouvrage récent de l’historien Dominique Laperle, “ Entre Concile et Révolution tranquille : les religieuses au Québec, une fidélité créatrice ”, retrace l’évolution entre 1955 et 1985 de la congrégation canadienne-française des Sœurs des Saints-Noms de Jésus et de Marie. L’histoire de sa dévastation presque complète en deux décennies vient confirmer l’analyse de “ Lumen Gentium ” et du décret “ Perfectæ Caritatis ” sur la vie religieuse, faite par l’abbé de Nantes au lendemain du Concile.

Il y a soixante ans, s’éteignait à l’Hôtel-Dieu de Québec, Dom Paul Bellot, moine bénédictin, l’architecte de la basilique de l’Oratoire Saint-Joseph et de l’abbaye de Saint-Benoît-du-Lac. Toute son œuvre et les principes qu’il voulait réintroduire dans son art avaient pour but de provoquer une renaissance de l’architecture religieuse.

En 1624, les premiers missionnaires récollets réunis à Québec, ayant dressé le constat d’échec de leur apostolat, décident de remettre le Canada entre les mains de saint Joseph...

Le Père Albert Lacombe (1827-1916) oblat de Marie Immaculée a été l’évangélisateur des tribus la Prairie de l’Ouest canadien. Avec un courage inouï, il affronta leur hostilité puis conquit les cœurs par sa charité avant de s’en faire le défenseur face au gouvernement fédéral.

Le Concile croyait l’opinion des peuples directement mûrie dans les consciences individuelles, alors qu’elles sont éduquées par l’adversaire, la franc-maçonnerie...

L’attitude de Mgr Prévost confronté aux communistes en Chine et au Pérou est digne de respect, mais il lui a manqué la compréhension des événements qu’il vivait.

Le Père réfute la justice républicaine contre Jésus, l’autoritarisme ecclésiastique contre la messe et les mauvais arguments contre l’avortement : lumineux !

Les évêques français sont complices des novateurs, Mgr Lefebvre sera excommunié et le monde est affligé de la démocratie, sauf au Chili !

L’Église court à la ruine par la main de Jean-Paul II, mais frère Bruno invite à espérer. Moure, le Saint Suaire, Jean-Paul I^er sont autant de signes indubitables que notre foi est vraie, qu’« Il est ressuscité ! ».

Sous le pontificat de Jean-Paul II, dont les actes et les paroles justifièrent deux nouvelles démarches d’accusation, l’abbé de Nantes développa toute une doctrine de renaissance catholique.

À la lumière des enseignements de notre Père, frère Pierre raconte l’épopée des 620 000 volontaires canadiens venus se battre en Europe, au sein de l’armée britannique, se couvrant d’une gloire sans égale.

Le règne de Madame de Pompadour fut heureux pour les arts, mais funeste dans tous les autres domaines où il s’exerça : finances, littérature et politique extérieure.