Amicus va se trouver au nœud de la dénonciation d’un des événements majeurs du vingtième siècle : le ralliement doctrinal de l’Église institutionnelle à la Révolution.

À peine notre Père était-il ordonné prêtre, le 27 mars 1948, qu’il affronta, oint du don de Force, la révolution sous toutes ses facettes. Ce défenseur de l’Église et de la Cité est un homme de progrès et surtout un cœur !

L’Épuration s’étendit aussi aux hommes de lettres. Dans ce climat de terrorisme intellectuel, deux exceptions : Jacques Perret et surtout l’abbé de Nantes, par ses articles de critique littéraire et de politique religieuse parus sous le pseudonyme d’Amicus.

Un tour de la presse d’où le conférencier tire ses informations pour ses actualités mensuelles ! Éclairage passionnant de la pensée française par les jugements et conclusions tirés !

Le Père focalise l’opposition de tous les tradis, parce qu’il refuse la doctrine des droits de l’homme du Pape, qu’ils avalent par amour du Pape ! Levons les ambiguïtés !

Après l’alliance sino-japonaise, deux politiques s’affrontent : la géopolitique des Russes, soucieux de leurs intérêts ; la morale des droits de l’homme des USA, ruinant le monde dit libre.

Non, le monde ne va pas bien ! Le tour du monde le prouve, hélas, abondamment. Non, Jean-Paul II ne peut relever l’Église par les droits de l’homme.

À part les bonnes nouvelles sur le Saint Suaire, une suite de nouvelles graves, navrantes, qui compromettent quasi irrémédiablement l’avenir de la France et de l’Église... À quand un roi consacré au Sacré-Cœur ?

La réélection de Mitterrand déchaîne dans l’Église les passions révolutionnaires, et la France est stoppée net dans son effort de redressement. Maintenant c’est trop tard, la débâcle est là.

C’est le jeune abbé de Nantes qui nous permet de conclure cette étude. Dans l’orage, il tenait tête à la subversion révolutionnaire et progressiste, préparant la pleine restauration de la Chrétienté.