Dans le triste enlisement de la politique républicaine, y avait-il quelque ressort héroïque ou souci du bien commun du côté des chefs de notre armée victorieuse ? Notre Père évoque “ leurs figures ” d’après les souvenirs de son enfance et les études historiques les plus récentes. Tels ils étaient pendant la Grande Guerre, tels ils sont demeurés après : Foch, Joffre, et leurs héritiers respectifs Weygand et Gamelin ; chez les coloniaux, Mangin et Lyautey, Gouraud et Franchet d’Espèrey. Le seul grand homme de l’époque, à défaut du saint qu’aurait pu être Castelnau, fut le maréchal Pétain, qui avait toujours raison...
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