Notre Père résume ainsi la constitution conciliaire sur l’Église Lumen Gentium : ce n’est plus la divine Lumière qui répand la grâce, c’est celle du réverbère qui éclaire la cité humaine en construction.
Après un rappel des intrigues des réformateurs, frère Matthieu passe en revue les vices de ce texte insensé : l’Église « mystère », l’Église « peuple de Dieu », la collégialité, la promotion du laïcat, la Sainte Vierge reléguée à la dernière place.
Le but de ce texte fut de modifier la constitution de l’Église et, de monarchique et hiérarchique qu’elle était, la transformer en gouvernement collégial où l’autorité est mise aux voix de l’assemblée ! « Vatican II, c’est la révolution d’octobre dans l’Église », Congar l’a bien dit.
Autodafé (Georges de Nantes) - Concile Vatican II - Lumen Gentium - Collégialité - Église (catholique)