En reprenant l’étude de notre Père sur les sacrements, notre frère montre que la position des intégristes prétextant de la nouveauté des rites pour déclarer les sacrements invalides est intenable. Rome a tout pouvoir de réformer et abroger le rituel. Au cours de l’histoire, les rites ont évolué. Tel saint Augustin aux donatistes, notre Père explique que nier leur validité, c’est oublier que par la main du prêtre, c’est le Christ qui agit pour donner la grâce aux âmes. Prenant ensuite de la hauteur, notre Père propose quelques innovations liturgiques que l’Église, quand elle le voudra, pourra adopter pour « répandre dans le monde la bonté du Christ-Jésus ».