Le Christ a transfiguré le malheur, il n’a pas assumé le péché, ni l’enfer éternel qui existe.
Les Pères de l’Église l’ont justifié par la juste rétribution des fautes et la Justice divine, le prêchant d’ailleurs pour en détourner les chrétiens. Mais Luther et Calvin en ont tiré leur funeste prédestination.
Devant ce mystère impénétrable à notre intelligence, méditons avec Péguy sur Jésus en croix qui combat jusqu’à la mort pour supplier son Père, puis descend aux enfers pour en arracher les âmes. Luttons avec Lui contre le péché : c’est le sommet de l’esthétique tragique chrétienne !
Titre du chapitre | Temps | |
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1. |
L’horreur du péché – La terreur de la damnation. |
0:00:00 |
2. |
Une esthétique de justice. |
0:07:39 |
3. |
Seule l’espérance est belle. |
0:20:11 |
4. |
Tragique Amour. |
0:35:58 |
La Divine Comédie (Dante) - Le Mystère de la Charité de Jeanne d’Arc (Péguy) - Les Suppliants parallèles (Péguy) - Œdipe Roi - Antigone - Augustin (saint) - Damnation - Dante - Enfer - Esthétique - Esthétique dramatique - Isaïe 52-53 (4e Poème du Serviteur) - Jugement - Laideur - Mystique - Péché - Péguy (Charles) - Prédestination (mystère de la) - Suppliant - Tristesse de Dieu