Antigone, la vierge de l’Ordre, qui a payé de sa vie sa fidélité aux lois non écrites qui sauvent dieux, familles et cités ! Une leçon toujours d’actualité !

Est-il besoin de faire application de pareille fiction à la vision des multiples persécutions et martyres où domine la Croix de Jésus-Christ et à la prévision de la lutte finale entre Notre-Dame et Lucifer ?

« Rien à comprendre dans le monde... si nous ne plaçons plus haut notre espoir, dans la source de l’amour même : un Dieu qui aimerait. »

Qui ne connaît l’histoire d’Œdipe, malheureux frappé par les dieux ! En deux pièces, Sophocle nous fait passer de l’horreur tragique à l’apaisement, de la chute à la promotion mystérieuse du suppliant. Quelle leçon !

Le mystère de l’Enfer est inacceptable dans une esthétique définitive. Ni révolte ni résignation, mais collaboration avec le Christ qui nous a appris la supplication, laquelle peut abolir le péché !

Le nouveau livre de BHL, loin d’apporter une réponse au fanatisme totalitaire moderne, présente le juif comme le Résistant, prophète, anarchique, s’appuyant sur la Bible ! Inquiétant !

Nos frères de l’atelier audio ont pu enregistrer un sermon inédit de saint Augustin ! L’Ancien Testament et la mythologie grecque sont comme l’eau de Cana changée en vin évangélique par le Christ.

La grande épreuve de la maladie et de l’internement de son père, à l’image de Jésus crucifié, intensifiera sa dévotion à la Sainte Face.

Les figures de l’Ancien et du Nouveau Testament se pressent pour évoquer Œdipe et Antigone.

En Œdipe maudit, abandonné de tous, sauf d’Antigone, mais aimé des dieux qui renversent son sort, le Père donne à reconnaître l’esthétique dramatique suivant le chemin de notre Sauveur et de sa sainte Mère.

L’homme n’est grand que par le cœur qu’il montre dans ses luttes, comme Jésus sur le Chemin de la Croix : soyons ses disciples !