La théorie de la liberté religieuse est un « délire », du point de vue de la raison ; et ce non-sens se double d’un crime politique, puisqu’il conduit les nations à la ruine. Lorsque l’Église revendique d’être « libre dans un État libre », elle “ libère ” de ce fait les autorités humaines de sa tutelle, mais elle leur fait perdre tout fondement divin. Celles-ci perdent donc le droit d’imposer des lois morales à leur pays. Et, tandis que l’Église oblige les États catholiques à s’y soumettre pour leur perte, les pays communistes, musulmans, etc. n’en tiennent aucun compte et gardent toute la puissance de leur pouvoir oppresseur et persécuteur.
Autodafé (Georges de Nantes) - Concile Vatican II - Dignitatis Humanæ (Déclaration) - Liberté religieuse - Politique