L’opposition de saint Thomas More à son roi, par devoir de conscience, présente un parallèle saisissant avec le grand drame de la vie de notre Père, qui atteignait son paroxysme en cette année 1996.

Martyr de sa fidélité à Dieu sans altérer en rien sa fidélité au Roi, comme cet autre Chancelier saint Thomas Becket, Thomas More est notre modèle de saint laïc CRC !

Martyr de sa fidélité à Dieu sans altérer en rien sa fidélité au Roi, comme cet autre Chancelier saint Thomas Becket, Thomas More est notre modèle de saint laïc CRC !

De retour d’un premier exil, notre Père nous livre sa tendre et ardente méditation du mystère de l’Assomption. Entre le Ciel et l’enfer, il faut prendre le parti des saints de Contre-Réforme.

Messianismes et utopies ont tenté de répondre à la question angoissante de l’échec de l’Église ici-bas. Mais si nous voulons garder notre Espérance, il faut les rejeter !

Après l’anathème, Vatican III devra réconcilier ! Mais comment trouver la vérité entre laxisme et sectarisme ? L’Église nous offre de nombreux contre-exemples et exemples pour nous guider !

Peut-on associer humanisme et christianisme ? Une controverse qui agite les arts, la politique, les sciences, la philosophie, de la Renaissance à Vatican II... et à l’abbé de Nantes qui apporte sa réponse relationnelle à ce grand débat.

Notre Père nous fait prendre la mesure du luthéranisme destructeur et de sa monstrueuse “ profession de foi ” ouvrant l’ère moderne de la sécularisation, de la laïcité et engendrant la franc-maçonnerie.

La vie consacrée reste supérieure à la vie séculière, mais les vrais foyers chrétiens sont très proches d’esprit et d’âme des monastères !

Les martyrs si attachants de ce mois nous donnent rendez-vous au Ciel auprès de Jésus, pour reformer l’Église triomphante, qui est « Jésus répandu et communiqué » (Bossuet).