Après la victoire de Jésus par ses controverses contre les pharisiens, vient le temps du Sacrifice librement consenti où il est Prêtre et Victime. Pour la rémission de nos péchés.

Comment le Christ sauve-t-il ? Comment a-t-il pu introduire dans ce monde mauvais l’espérance et le germe d’un nouveau Royaume ? Comment peut-il encore aujourd’hui et chaque jour répandre ses énergies, sa “ grâce ” ?

La vie de la Sainte Vierge dans toute sa profondeur et ses douleurs nous la fait connaître comme une maman tout embrasée d’amour pour son Dieu, Ami, Fils, et Époux et préoccupée du salut des pécheurs.

« Le prêtre est un homme dépouillé, crucifié, mangé. » Telle fut la vie de notre Père, à l’imitation de son Maître, dans la crèche, sur la croix et au tabernacle, pour ne plus faire avec lui qu’une victime, un seul Cœur.

La force qui agit dans l’Église, c’est la Messe dont le cœur est le Sacrifice du Christ. Transformés par Lui en victimes, les chrétiens sont facteurs de progrès !

Dieu le Père veut donner une Épouse à son Fils : c’est le fil directeur de toute l’Histoire sainte, tendue vers la fondation de l’Église.

C’est le trésor de la vie sacerdotale du Père ! Cette dévotion enflamme notre Croisade eucharistique et mariale, qui nous conduira jusqu’à Fatima en 1996.