Léon XIII contre le Roi, Pie XI contre l’Action française, l’Action catholique contre la France et la Révolution nationale : c’est le péché de l’Église...

Une fois la grande force révolutionnaire bien repérée avec Maurras, sa mise en œuvre malgré ses adversaires ne pourra venir que de l’Église, seule capable d’insuffler les énergies nécessaires !

La condamnation de l’Action française marque le tournant de l’entre-deux-guerres. Le nationalisme intégral est voué à l’échec à cause du Pape, acquis aux idéaux démocratiques, ainsi que de Charles Maurras et son paganisme.

Qu’est-ce que la Révolution ? C’est l’idée d’un renversement violent du pouvoir entraînant un changement total de vie, une accession à une forme de société supposée supérieure. Alors, sommes-nous pour ou contre la Révolution ?

La cause de tous les échecs de la droite française ? C’est le secret de Maurras, découvert peu à peu par son disciple, l’abbé de Nantes.

Le Père répond à de nouvelles questions en délivrant un vrai cours de formation intellectuelle et de méthode, pour aborder les questions complexes, si brouillées depuis la révolution conciliaire !

Le passage de la religion à la politique se fait par la reconnaissance de l’empire souverain de Jésus-Christ et de sa divine Mère sur toute société. La politique réelle, c’est le combat entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan.

Devant le public enthousiaste de la Grande Mutu, le Père, pour sauver la France décadente, veut réveiller la droite – la vraie ! – avec l’Église qui doit faire de la politique.

À l’issue de cette conférence, remplis de fierté pour notre France catholique, vous voudrez repartir en mission avec elle pour qu’elle retrouve sa place et répande son héritage !

Mgr Freppel comprit rapidement que c’est la Révolution qui est la cause de toutes les luttes sociales, et que la question sociale est d’abord religieuse, donc à traiter avec l’Église.

Au cours d’un débat très courtois, beaucoup de questions capitales sur la politique et la religion, les forces en présence... La conclusion : rien ne pourra se faire sans ou contre l’Église !

« La religion et la politique doivent rester unies pour conduire l’homme, l’une directement et l’autre indirectement à ses fins surnaturelles et divines. »

À l’émission “ Radioscopie ” sur les ondes de France-Inter, Jacques Chancel interroge l’abbé de Nantes sur son œuvre, la crise de l’Église ainsi que sur d’autres sujets brûlants d’actualité.

Portraits opposés des États-Unis, hégémoniques, mercantilistes, mais perdants du terrain face à la Russie, puissance montante reposant sur le nationalisme russe et l’Orthodoxie, hélas ! faute de consécration au Cœur Immaculé de Marie.