À Québec, le Comité du Sacré-Cœur du Père Lelièvre et de Louis Émond est un modèle d’engagement des laïcs. La clé de leur réussite ? Leur consécration totale au Sacré-Cœur par Marie !

La vie de sainte Marie de l’Incarnation, fondatrice des Ursulines de Québec, dont la vocation canadienne a été préparée par de nombreuses et hautes grâces mystiques illustre la vocation surnaturelle de la Nouvelle-France.

Père de la Nouvelle-France et premier évêque de Québec, la colonie lui doit un clergé de grande qualité, exempt de jansénisme et gardien de l’idéal de la chrétienté. Un modèle de Bon Pasteur selon le Cœur très unique de Jésus et de Marie.

Arrivée à Québec en 1639, sainte Marie de l’Incarnation, épouse du Christ, sera pendant plus de trente ans l’âme de la colonie naissante. À travers elle, c’est le Cœur de Jésus qui soutient la Nouvelle-France.

Récit édifiant des premiers essais d’implantation des colons français en Nouvelle-France, affrontés aux duretés du climat canadien et surtout à l’hostilité des Anglais protestants qui s’acharnèrent à contrecarrer cette œuvre catholique et française.

Arrivée en 1648 à Québec à 16 ans, elle résistera héroïquement de 1652 à sa mort en 1668 à des obsessions démoniaques. Mais, favorisée de visions, elle offrira tous ses combats pour l’Église de Nouvelle-France.

Le voyage de repentance du Pape avalise les mensonges du gouvernement et des médias canadiens sur l’œuvre civilisatrice et missionnaire de l’Église au Canada, œuvre sainte et glorieuse qu’il renie.

Un spécialiste de l’histoire sainte du Canada français nous fait revivre l’épopée héroïque et mystique de la fondation de la Nouvelle-France nous dévoilant sa vocation surnaturelle.

La fondation de la Nouvelle-France fut le fruit excellent du Royaume de France, animée par le concile de Trente et l’esprit de Contre-Réforme !