Le film “ La Passion ” de Mel Gibson met en scène, avec une rare intensité, le mystère du Messie crucifié par son peuple, mais offrant sa vie en expiation dans un sacrifice rédempteur.

S’appuyant sur les quatre Évangiles et le Saint Suaire, frère Bruno montre comment Jésus a disposé toutes choses pour donner sa vie au moment même où les agneaux seraient immolés dans le Temple pour la Pâque.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Le Saint Suaire nous raconte en détail la Passion du Christ, comme un cinquième Évangile. Mais il est surtout la preuve de la Résurrection de Celui qui y a imprimé la brûlure de sa gloire divine !

Tout le drame de la Rédemption, dont les Évangiles rapportent les événements, est enclos dans le colloque de Passion et de Compassion des Cœurs de Jésus et Marie. Nous sommes invités à partager ce secret.

Dans ce premier volet consacrée à l’histoire de la dévotion au Saint Suaire, frère Bruno nous introduit dans la contemplation de la plus insigne de nos reliques. Très bien illustrée, cette conférence présente le problème inattendu et saisissant que pose le Saint Suaire à la conscience et la science moderne.

Chemin de Croix composé par notre Père au Canada en 1974.
Grâce à cet enregistrement, vous pouvez le suivre avec la communauté de la maison Saint-Joseph.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Frère Bruno nous fait suivre Jésus pas à pas durant la Semaine sainte de sa Passion, en tout son être filial, obéissant à son Père, et selon une chronologie des événements désormais parfaitement établie.

Le Jésus de Hans Küng a provoqué le conflit avec les autorités jusqu’à sa mort, point final de sa vie. Il ne reste plus rien de notre Credo. Mais en a-t-il fait la preuve ?

Frère Bruno expose la chronologie “ longue ” de la Passion du Christ, découverte par Annie Jaubert, et livre toute la méditation de notre Père sur les événements rapportés par saint Marc dans son Évangile.

La grande dévotion du frère André était la Passion de Jésus, mais aussi la Sainte Eucharistie qui en est le prolongement, et la dévotion la Sainte Vierge inséparable de celle à saint Joseph.

Nous suivons la fuite poignante  de David devant le rebelle, son propre fils, sa passion, dont celle de Jésus sera si parallèle. Jésus médite sur le mystère d’iniquité...

Notre émotion sainte à évoquer les souffrances de nos morts nous fait comprendre pourquoi il est bon de nous représenter celles de Jésus et Marie dans leur Passion et ainsi mourir pour ressusciter avec eux.

Méditons le récit ancien de cet Amphion, disciple fictif, témoin de la vie et de la mort de Jésus !

Jésus dans saint Luc nous recommande les vertus nécessaires pour porter la Croix : la sienne et la nôtre.

Le Christ nous rachète sur la Croix par pure miséricorde. Mais, désormais, comment allons-nous participer à ce mystère de la grâce trinitaire et christique ? Quelle œuvre sera la nôtre ?

O Crux, ave, spes unica ! Ô Croix, notre unique Espérance !
En dehors de cela, tout est illusion.

Aimons méditer les Chants du Serviteur souffrant dont les lumières tragiques nous font pénétrer dans le mystère de notre rédemption.

Quand Benoît XVI reconnaît l’héroïcité des vertus de Jean-Paul II et ouvre les portes de l’Église aux anglicans qui adhèrent au CEC, seule la CRC peut nous redonner la foi et l’espérance en l’Église !

Après la Résurrection, Jésus, venu de Dieu, est pressé de remonter vers son Père. Suivons-Le !

Jésus se soumet au baptême de Jean, rite d’Ancien Testament, pour reverser ses richesses de grâces sur nous par le baptême chrétien.

Après les ténèbres, un flot de lumières jailli des Prophètes et des Évangiles sur tous les points niés par Hans Küng et qui nous fait aimer, adorer et remercier notre Sauveur !

La Gloire entrevue sur la Montagne précède la souffrance de la Passion. Vrai pour Jésus... et pour nous.

Quittons une religion facile et mondaine pour entrer dans le mystère de la mort de Jésus, dans son secret qu’il tait, tout occupé à réaliser la volonté de son Père.

Reconquête de Jérusalem : affrontements des armées, mort d’Absalom, immense douleur de David, cynisme de Joab, retournement des traîtres, révolte des tribus... L’histoire est désespérante. Jésus seul est sauveur.

Les psaumes nous aident à mieux comprendre les souffrances de Jésus dans sa Passion. Mais ils ne peuvent rendre compte de leur raison ultime : la Rédemption, sacrifice d’expiation prophétisé par le seul Inconnu de l’Exil.

La confiance absolue de Jésus dans sa résurrection par son Père fonde la même confiance de notre Père dans son appel au jugement de Dieu !

Pas d’union au Cœur de Jésus sans rappeler qu’elle a été payée de son Sang sur la Croix !

Jésus se donne à nous comme la Victime, seule capable de nous sauver et de nous ouvrir le Ciel.

La fête de Pâques représente le type de toutes nos épreuves : passer par la mort pour ressusciter avec le Christ !

L’homme moderne se trouve très bien : il n’a donc aucun besoin de miséricorde.

À travers les joies et peines de tant de mères et d’épouses, Dieu nous introduit dans le mystère du Cœur douloureux de la Vierge Marie dans la Passion. Admirons-la et aimons-la.

Par le sacrement de l’Eucharistie à chaque messe, par le don de son Esprit-Saint à la Pentecôte, Jésus a tenu parole : il ne nous laisse pas orphelins !