L’abbé Georges de Nantes, dont toute la vie mystique fut marquée par la Sainte Face, est l’une des rares âmes qui entendirent l’appel à l’amour de l’Époux dans la révélation de son Saint Suaire.

Si la dévotion à la Sainte Face fut si répandue dans le monde et en particulier au Canada-français, on le doit notamment à l’esprit entreprenant d’un prêtre canadien dont le procès de béatification vient d’être ouvert : le Père Eugène Prévost.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Thérèse parcourt cette année 1886-1887 dans un enthousiasme moral et mystique – partagé avec Céline – qui attise sa soif des âmes, au point de vouloir entrer au Carmel à 15 ans !

La sûreté de jugement et les audaces de Thérèse avec ses novices laissent dans une admiration profonde...

Frère Bruno nous fait savourer toutes les facettes de la sainteté tellement incomprise de « la plus grande sainte des temps modernes » (saint Pie X) en commentant avec émotion les quinze scènes inoubliables de l’oratorio.

Par les évènements extraordinaires qui jalonnent sa vie, dès son plus jeune âge, on peut voir en Thérèse une miniature de la Vierge Marie.

Saisie par l’illumination de la réciprocité de l’Amour, Thérèse désire non plus la souffrance, mais l’Amour : une révolution pour les carmels français depuis Bérulle.

Sa mort en martyre d’amour la rapproche le plus possible de l’Immaculée : Dieu a exaucé tous ses désirs.