Dans l’Évangile selon saint Jean, Notre-Seigneur prononce de longs discours qui expriment une seule grande pensée : Il est l’Envoyé du Père, celui qui croit en Lui a la Vie éternelle.

Face à une hérésie subtile – la gnose –, Jean se dresse et renouvelle l’amour du Christ et des chrétiens, en prêchant l’horreur de Satan et la méfiance du monde.

Ce prologue est la présentation de l’accusé du plus grand procès de l’histoire, dont saint Jean dressera la minute. En voici un commentaire littéral captivant.

Les Évangélistes, chacun par leur point de vue, nous font entrer dans le mystère des âmes de chacun des protagonistes après la Crucifixion.

La signification de la Passion de Jésus nous est révélée par saint Jean, confident de la Sainte Vierge : la gloire du Christ resplendit à la mesure de l’abjection dans laquelle Il tombe.

À la suite de la Sainte Vierge recueillant la dépouille mortelle de son Enfant, contemplons et adorons les Plaies sacrées du Corps du Christ dont l’image nous est révélée par le Saint Suaire.

Saint Jean termine son Évangile par deux apparitions magnifiques qui ouvrent le matin ecclésiastique de l’Église !

Aimons Pierre et Jean dans leur course au tombeau : une des scènes les plus émouvantes de la Résurrection.

Il n’y a rien de plus historique que les quatre Évangiles ! Les lire avec cette certitude de foi, que vérifie l’exégèse la plus sûre, nous ouvre une connaissance plus profonde du Cœur de Jésus-Marie.

Le dernier travail de Jésus après sa résurrection : apparaître à ses amis pour les ramener à la foi, chacun selon sa psychologie, et qu’ils deviennent les apôtres de son règne !

Toute l’épître de saint Jean est tournée contre l’illuminisme moderne de Vatican II ! Nous vivons dans la foi, non dans l’expérience vitale !

Devenons l’intime de Marie-Madeleine pour l’admirer, l’aimer et comprendre son amour de compassion pour Jésus.

Le frère Charles de Jésus, à Nazareth, revit la Résurrection de Jésus dans le cœur de Marie-Madeleine et de la Vierge.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Recevons le choc de l’Évangile de saint Marc retranscrivant l’enseignement de Pierre et de Paul aux païens : l’annonce et la venue d’un Roi, Fils de Dieu, qui remettra leurs péchés, par le baptême !

Notre frère Bruno résume très clairement l’enseignement des Apôtres sur la Résurrection du Christ, fait physique, et sur la vie éternelle.

Voici un évêque qui ne confesse pas Jésus comme « Celui qui était attendu » par toute la révélation de l’Ancien Testament, comme « le Messie de Dieu » révélé par l’Évangile.

Admirons et méditons le récit incomparable de Jésus apparaissant à Marie-Madeleine !

Suivons Jésus, la veille de sa Passion avec ses apôtres et admirons son exquise délicatesse avec eux !

 Saint Luc a choisi d’écarter tout ce qui pourrait détourner le lecteur de la grande résolution du Cœur de Notre-Seigneur : la montée de Jésus vers Jérusalem, où tout a commencé et où tout doit s’accomplir.

Quel prix infini de la Messe : Jésus revient à chaque messe nous laver les pieds...

Le Prologue de saint Jean révèle le mystère de la naissance de Jésus !

Toujours en suivant sa synopse, frère Bruno nous montre Notre-Seigneur s’engager résolument dans Sa Passion.

La Gloire entrevue sur la Montagne précède la souffrance de la Passion. Vrai pour Jésus... et pour nous.

Comme la Sulamite du Cantique des cantiques, Marie-Madeleine désire rejoindre son Époux là où il est !

Marie, montée au Ciel dans une extase d’amour, s’inquiète jusqu’au Jugement dernier de ses enfants nés et à naître !

La Résurrection est un fait historique et scientifique. Tout en suivant les ɐvangiles, frère Bruno retrace le déroulement des événements, de la découverte du tombeau vide à la rencontre de Jésus avec ses disciples en Galilée.

Au moment même où Juifs et Romains jugent Jésus, c’est Lui qui les juge, pour l’éternité...

Dans le Prologue – splendide texte de Nativité ! –, nous découvrons la vie intime de Dieu-Père !

Redisons la vérité catholique sur Noël, rejetée par juifs et musulmans : l’Enfant de la crèche est Fils de Dieu, venu pour être Roi et Sauveur du monde.

Le récit si précis et si sobre de la Passion par les Évangélistes nous conduit à méditer sur l’océan de souffrances physiques, morales, mystiques subies par Jésus et sa Mère...

Le chrétien naît une nouvelle fois à la vie divine par le baptême, devenant alors fils de Dieu à la ressemblance de Jésus !

Isaïe 53 : texte bouleversant, description prophétique des souffrances de Jésus pour sauver l’humanité ! Puis une démonstration scientifique de la résurrection physique de Jésus, contestée actuellement : imparable !

Avec les deux larrons, c’est l’opposition immortelle de l’Esprit des Ténèbres et de la Lumière, au Calvaire comme aujourd’hui.

Avec un rare courage, Jésus va affronter les diaboliques à Jérusalem.

Reprenant le texte initial de Lustiger, le Père en récapitule les mensonges et le danger pour les chrétiens renégats d’aujourd’hui. La vie humaine est tragique : restons fidèles !

Tout le drame de la Rédemption, dont les Évangiles rapportent les événements, est enclos dans le colloque de Passion et de Compassion des Cœurs de Jésus et Marie. Nous sommes invités à partager ce secret.

La Résurrection de Jésus est un fait historique, attesté par les témoins. La résurrection des corps – refusée par les modernistes – l’est tout autant, pour des raisons expliquées par le prédicateur.

La Résurrection du Sauveur, attendue durant tout l’Ancien Testament, est le principe de la vie de l’Église et la source de la grâce que nous recevons à chaque communion.

Jésus est plein d’affection pour chacun de nous et nous donne la grâce nécessaire à notre rôle.

La place de Marie-Madeleine dans le Cœur de Jésus est singulière, pour révéler son désir d’être aimé ainsi par des âmes privilégiées dans les siècles à venir !

Comme saint Jean, contemplons le Saint Suaire et croyons !

Nous revivons avec bonheur tous les faits et gestes des protagonistes du matin de la Résurrection, dans leur psychologie, et nous sommes invités à choisir notre modèle d’amour de Jésus !

Dans la veuve de Naïm pleurant son fils mort, Jésus a vu la douleur de sa Mère... Ainsi entrons-nous dans le Cœur du Fils et de sa Mère.

Remplacez le mot “ Sagesse ” par “ Immaculée Conception ” dans l’Ecclésiaste, et vous savourerez l’annonce prophétique de Marie Auxiliatrice !